mercredi 28 avril 2010

Le miroir de Cassandre, bernard Werber

Présentation de l'éditeur :
Et vous, que feriez-vous si vous vouliez voir le futur et que personne ne vous croie ?

Moi :
Je ne suis pas une habituée de cet auteur mais lorsque ce roman est sorti, je n'ai pas pu m'empêcher d'en lire des critiques (mitigés). Et lorsque je l'ai vu à la bibliothèque, j'ai pas hésité à le lire et voulu le lire par curiosité.


Cassandre est une ado de 17 ans, qui se trouve dans un "institut" ou école. Elle a un don particulier : elle voit le futur, prédit les malheurs qu'il va arriver. Mais tout comme son homonyme célèbre, l'antique Cassandre personne ne la croira.
Suites à certaines circonstances, elle s'enfuira de son école et sans le savoir jusqu'au dernier moment, se retrouvera dans une décharge. Là, à sa surprise, elle racontrera quatre personnes - clochards - qui se cachent de la société ( pour certaines raisons que nous connaitrions plus tard) pour en former une entre eux dans cette déchèterie. Elle cherchera en eux l'aide que l'extérieur ne peut lui donner puisqu'ils refusent de l'écouter. A eux non plus, elle ne cachera pas qu'elle est visionnaire.
Puis comme dans toute société, elle devra se faire accepté et cela ne sera pas facile car il semblerait qu'elle attire les ennuies sur elle...

Mais le problème avec Cassandre c'est qu'elle ne se souvient plus de rien avant ses 13 ans, âge auquel ses parents sont décédés. C'est une ado qui n'´hésitera pas à retourner à l'état sauvage pour se défendre.

Partagé entre ses visions et sauver le monde (futur ?) et à la recherche de son passé, nous la suivons dans ses péripéties dont elle en deviendra de plus en plus une mûr, femme.


Je dois dire que je suis vite entrée dans le roman : certaines idées, réflexions que j'y ai trouvé m'ont beaucoup plus car elle font réfléchir, donner à y penser ( certaines sont réalistes). Il y avait surtout cette question sous forme de réflexion qui revenait souvent : si vous pouviez connaitre votre futur, souhaiteriez-vous le connaitre ? C'était un des sujets qui revenait souvent, comme un rappel sous forme de pourcentage de personnes qui ont peur de connaitre le futur, puis il y a ce passage avec une certaine personne qui explique à l'héroine du roman que de toute façon les gens ne veulent entendre ce qu'ils veulent de leur avenir car le futur fait peur.

Par la suite, vers la moitié ou dernier quart du roman, ca devient long, on ressasse la même chose encore et encore, ca a dut mal à avancer. J'avais hésiter à continuer. De plus je fus un peu déçu par la fin.


Extraits :

Pour en lire le premier chapitre, cliquer ici !

" Connaitre le futur ne les intéresse pas.

- Pourquoi ? Tout le monde devrait vouloir savoir ce qui va lui arriver.
- Toi et moi nous nous intéressons au futur, mais la grande majorité des gens tournent la tête pour ne pas l'horizon du temps. Cela leur fait peur. Quand Il pensent au futur, ils craignent de voir les malheurs qui vont leur arriver alors ils préfèrent tout ignorer. Et puis la mort est au bout de la route, comme de la notre. Il faut faut avoir du courage pour se diriger vers elle les yeux ouverts."


" Et l'ange appuie son doigt sur la lèvre du fœtus juste avant qu'il naisse et murmure : " oublie toutes tes vies précédentes pour que leur souvenir ne te gène pas dans cette vie-ci". C'est ce qui donne la gouttière au-dessus des lèvres du nouveau-né." La Kabbale.


" La vérité est une grenade dégoupillé à utiliser avec parcimonie et pas avec n'importe qui "

samedi 24 avril 2010

Eternels, tome 1 : Evermore ; Alyson Noël

Présentation de l'éditeur :
Avant l’accident, Ever Boom était une adolescente comme les autres. Elle a perdu toute sa famille dans cet épisode tragique, et reçoit soudain un terrible don : celui de lire dans les pensées des gens, de voir leur aura et de connaître leur vie en les touchant. Elle se renferme alors sur elle-même et évite le contact. Les élèves du lycée la regardent comme une bizarrerie, la pointent du doigt… jusqu’au jour où elle rencontre Damen Auguste. Damen est mystérieux, plein de charme et terriblement beau. Toutes les filles du lycée se le disputent mais c’est à Ever qu’il s’intéresse. Or c’est le seul être dont elle ne peut pas découvrir les pensées. Et personne ne sait réellement qui il est ni d’où il vient. La seule chose dont Ever est sûre, c’est qu’elle est profondément et irrémédiablement amoureuse de lui.



Ce que j'en dis :
Ever Bloom, adolescente de 16 ans, a perdu sa famille dans un tragique accident. Elle se retrouve à vivre avec sa tante en Californie. Elle se considère elle-même comme un monstre du fait qu'elle est acquis un don qui la gêne depuis son réveil de l'accident...raison pour laquelle elle se referme sur elle-même et se cache sous ses grands sweat-shirts à capuche, et écouteurs dans les oreilles. Ceci dit elle a réussi à se faire deux amis - différents de l'un et de l'autre - et à eux trois, je dirais qu'ils forment la bande de ceux qui se différencie des autres et font l'objet de moqueries.
Mais voilà qu'arrive un nouvel élève qui fait tourner la tête à plus d'une fille : Damen. Ever, grâce à son don, ne cherche pas en aucun cas à être en contact avec lui. Cela ne durera pas longtemps.

C'était une lecture qui m'a été agréable même si j'ai trouvé qu'il n'y avait pas mal de "déjà vu" surtout lorsque Ever n'entend pas les pensées et ne voit rien lorsqu'elle touche Damen. Ce petit attrait m'a fait rappeler d'une part la saga Twilight, True blood (la communauté du sud) malgré tout, et heureusement il y a qulque chose qui le rend différent aux deux références cités.
Mais la lecture a fait son chemin car je souhaitais en savoir plus sur le personnage mystique de Damen même s'il m' apparaissait agaçant.

Le personnage de Ever, une ado complètement paumé, déjà suite à la perte de sa famille, mais surement avec le fait qu'elle se retrouve avec ce dont qui ne l'aide pas encore plus, et qui fait qu'elle se replie sur elle-même. Heureusement pour elle, elle est en contact avec sa petite sœur Riley (décédée dans l'accident) ce qui lui permet de garder un peu plus pieds sur terre.

Lorsque Damen entre dans sa vie, elle veut ignorer ce qu'elle ressent pour lui. Après tout, il a l'air souvent entouré d'autres jeunes filles. Un Don-Juan ? Mais j'ai pu ressentir qu'il y avait quelque chose de plus profond le concernant. Lorsqu'elle se posera des questions sur lui, comment ne pas la comprendre.

Le seul point négatif avec cette histoire - excepté l'impression de déjà-vu - c'est ce petit manège "je t'aime, je t'aime plus".


Un roman qui m'a été sympathique de lire, lu en une journée, dont je lirais la suite très prochainement.
Mais à mon avis, c'est surtout un roman pour les ados, ou alors à lire par temps maussade ou bien à la plage.

vendredi 23 avril 2010

La terre des mensonges, Anne B. Radge

Présentation de l'éditeur :
Après la mort de leur mère, trois frères que tout sépare se retrouvent dans la ferme familiale. Tor, l'aîné, se consacre à l'élevage de porcs, Margido dirige une entreprise de pompes funèbres et Erlend est décorateur de vitrines à Copenhague. Les retrouvailles s'annoncent mouvementées : la tension atteint son paroxysme lorsque la question de l'héritage amène le père de famille à révéler un terrible secret.

Moi :
Un début assez difficile, j'ai eu dut mal à entrer dans l'histoire. Je commençais à râler auprès des critiques que j'avais lu. Je décida, cependant, de continuer encore un peu.
C'est à partir d'un tiers du livre que je commençais à être dans l'histoire.

Là, où c'est surement un peu long pour démarrer c'est avec la présentation de chaque personnages : trois frères, complètement différents des uns et des autres, qui ont grandit dans une ferme familiale.
L'un est fermier, et est le fils de sa maman, l'autre dirige une entreprise de pompes funèbres et quand au dernier il est décorateur de vitrines. Il y a aussi une jeune femme, dans l'histoire, lié à l'un d'eux, et découvrira les deux autres.
En ce qui concerne les frères, ils ne sont pas proches du tout. Se parlent peu. Même un d'eux n'a pas donné de ses nouvelles depuis 20 ans.

Mais voilà que le destin les fera réunir malgré tout à la ferme familial lorsque leur mère est hospitalisé à l'approche de Noël.


Je me suis attachée d'une certaine façon à cette famille assez singulière, folklorique. Leur mésentente fera peut-être la raison de pourquoi j'ai aimé par la suite l'ambiance de roman comme s'il a été un peu plus pimenté. Sans oublier les secrets de familles révélés autour de la table de Noël et sous l'effet de l'alcool que certains ont du mal à en croire.
J'ai cru comprendre que l'auteur a écrit une suite à ce roman et je le lirais avec plaisir, mais je dois patienter qu'il soit traduit en anglais.

mardi 20 avril 2010

Départs anticipés, Christopher Buckley

Présentation de l'éditeur :
Ils exagèrent, tous ces retraités. À Washington, entre villas de luxe et terrains de golf, ils sont de plus en plus nombreux à vivre aux crochets de la jeune génération. Aidée par un sénateur assoiffé de pouvoir, Cassandra, conseillère en communication et bloggeuse révoltée, déclare la guerre aux baby-boomers. Son arme ? Le "transitionnement volontaire", comprenez : le suicide assisté...


Ce que j'en dis :
Lorsque BOB l'avait proposé en lecture partenariat, j'avais hésité car je me doutais bien que le sujet emmenerait sur un fond politique, fond auquel j'ai des fois du mal.

J'ai eu dut mal à entrer dans l'histoire, j'ai trouvé un peu long la présentation de Cassandra même si je comprend le but : une jeune fille qui avait toutes ses chances d'étudier dans une université prestigieuse, se retrouve dans l'armée à cause de (l'égoïsme, erreurs ) son père. Par la suite, ils lui arriveront certains événements qui feront qu'elle est la personne qu'elle est.
J'ai pu ressentir une certaine rébellion en elle (contre la société dans laquelle elle vit ?) peut-être est ce pour cette qu'elle tient son blog Cassadre et n'hésite pas à se "vider dessus".
Cass est tenace et ne lâchera pas prise sur son idée. Avec sous la main un sénateur qui rêve d'une certaine place au pouvoir, ils lanceront tout un débat sur le sujet. Commenceront alors les petites guerres verbales, complots pour nuire l'image d'un tel, etc. Car la campagne électoral s'approche.
Là où je suis vraiment entrée dans l'histoire, c'est au moment d'arriver au sujet vif concernant le "transitionnement volontaire" soit un suicide collectif légal pour les personnes âges dès 70 ans.

Pour moi, l'auteur touche avec brio un sujet plus au moins sensible ( je suis sûre que certains d'entre vous, avez entendu mainte fois ce sujet venir lors d'une conversation à un repas de famille !) sur comment gérer une dette qui se passe d'une génération en génération, mais le sujet principal est celui de la retraite (ok, la génération des baby-boomers mais je trouve que le sujet est général...) : la génération actuelle cotisse la retraite pour ceux devant nous.
J'ai su dès alors apprécier le ton sarcastique, ironique, si ce n'est une petite pointe d'humour noir, cette "affaire", projet de loi, qui atteindra la Maison Blanche et le Vatican.

En bref, malgré un démarrage un peu long, j'ai aimé apprécié ce roman pour les raisons cités ci-dessus. D'un côté, je ne suis pas vraiment surprise que cela soit un américain qui écrit sur un tel sujet, si ce n'est pour reprendre cette ligne, lu dans le roman : "Quel pays, l'Amérique. Un asile de fou, sans assez d'infirmiers ni de tranquillisants".

Je remercie Bob et les éditions Points pour cette lecture intéressante et découverte.

Extrait :
" - Mademoiselle Devine, avez-vous effectivement incité les jeunes à commettre des actes de violences ?
- Pas explicitement, mais le résultat est le même. Je ne me cacherai pas derrière le jargon juridique. Oui, je les y ai incités. Et ce soir, Brian, j'appelle notre jeunesse à protester contre la politique fiscale irresponsable de notre gouvernement. Ce vote du Sénat est une abomination. C'est un vote qui q pour effet de retirer le pain de la bouche à ma génération afin de préserver le petit confort de baby-boomers vieillissants et égoïstes. Que ce soit clair :nous ne laisserons pas conduire à la faillite sans réagir."

vendredi 16 avril 2010

Dracula, Bram Stoker

Présentation de l'éditeur :
" Le comte était là, comme surgi d'une tourmente. En effet, en ouvrant malgré moi les yeux, je vis sa main de fer saisir le cou délicat de la jeune femme et la repousser avec une force herculéenne ; cependant les yeux bleus de la femme brillaient de colère, ses dents blanches grinçaient de fureur et les jolies joues s'empourpraient d'indignation. Quant au comte ! Jamais je n'aurais imaginé qu'on pût se laisser emporter par une telle fureur. Ses yeux jetaient réellement des flammes, comme si elles provenaient de l'enfer même ; son visage était d'une pâleur de cadavre et ses traits durs étaient singulièrement tirés ; les sourcils épais qui se rejoignaient au-dessus du nez ressemblaient à une barre mouvante de métal chauffé à blanc. (...) D'une voix si basse qu'elle était presque un murmure mais qui pourtant donnait véritablement l'impression de couper l'air pour résonner ensuite dans toute la chambre, il leur dit : -Comment l'une d'entre vous a-t-elle osé le toucher ? Comment osez vous poser les yeux sur lui alors que je vous l'ai défendu ? Allez-vous-en, vous dis-je ! Cet homme est en mon pouvoir ! Prenez garde d'intervenir, ou vous aurez affaire à moi. "

Mon petit mot à moi :
Cela faisait un moment qu'il était sur ma LAL. Il a fallu que je parte en vacances avec un mauvais livre pour aller m'en acheter un autre. Lorsque j'ai vu la tranche de ce gros livre j'ai hésité. Après avoir lu les cinq premières pages, c'était décidé : j'allais le lire.
Je fus surprise par la présentation. Pour être honnête, je ne savais pas à quoi m'y attendre mais que le roman se présente sous forme de journaux intimes et de correspondance était la dernière chose à laquelle je m'attendais.

Je fus happé par la première page. J'avais peur qu'entre temps, le roman soit un peu long (comme ça peut arriver par moment avec des classiques) mais non. J'avais même fait l'essaie de le fermer pour en lire un plus petit en anglais. Mais l'histoire de Dracula était là dans mon esprit...

Une lecture que j'ai beaucoup aimé. D'ailleurs la lecture fut forte agréable, avec les éditions marabout fantastic, les caractères des mots font que c'est facile à lire contrairement aux poches où des fois je trouve que c'est écrit trop petit.

Je rappelle toute fois que Bram Stoker s'est inspiré, pour son personnage Dracula, d'une vraie personne : le comte Dracul. L'auteur Elizabeth Kostova a écrit un roman sur cette fameuse personne dont Bram Stoker s'est inspiré : l'historienne et Drakula. Un roman à lire si on aime apprendre un peu sur l'histoire...


Par la suite, je suis allée voir sur le forum Livraddict, c'était un livre dont le bookclub en discutait au mois de février (pas participer parce que je l'avais pas lu). A ma surprise, j'ai eu l'impression que beaucoup ont été déçu dut à la narration et sa longueur. Certes, il n'y a pas d'actions, dans le sens propre, très narratif...Je pense qu'après, chacun à ses goûts et opinions
:)

mardi 13 avril 2010

L'affaire Jennifer Jones, Anne Cassidy

Présentation de l'éditeur :
Alice Tully. 17 ans, jolie, cheveux coupés très court. Etudiante, serveuse dans un bistrot. Et Frankie, toujours là pour elle. Une vie sans histoire. Mais une vie trop lisse, sans passé, sans famille, sans ami. Comme si elle se cachait. Comme si un secret indicible la traquait...

Moi :
La quatrième de couverture m'a fait un peu hésité, mais la question "comment une petite fille de dix ans pouvait-elle tuer un autre enfant ?" a fait que je l'ai emprunté. Qu'il devait être aussi intéressant du point de vue psychologique et qu'il devait être noir.

Pour être un roman noir, il l'est. En plus de ca, triste.

Nous pourrons comprendre assez rapidement qui est Alce Tully. Elle vit avec Rosie, assistante sociale. Elle décortique les journaux pour voir s'ils ont publié quelques choses sur l'affaire Jennifer Jones. Cela peut paraitre une obsession mais lorsqu'on sait qui elle est, on peut comprendre. Elle a peur qu'on l'a retrouve...

En gros, c'est l'histoire d'une fillette qui été en prison pendant six ans. Six mois plus tôt sa sortie officielle, trois personnes sont mis dans la confidence de sa réinsartion dans la vie. Après tout elle a été suivie, purgé sa peine et a droit à une nouvelle vie avec un nouveau nom bien sûr.
Après tout, elle reste jeune. Une ado. Pourtant, son passé la hante malgré tout les efforts pour l'oublier. On découvre son enfance, du moins le genre d'enfance, qu'elle a eu. Ce qui nous permet de nous donner une idée. Puis vient le moment où on en sait plus sur le "meurtre"...
A la fin de ma lecture, j'étais comme elle, à me demander si elle avait droit à ce bonheur, si elle avait changé. Je dirais bien que oui, elle a appris de ses erreurs car à travers ses pensées qu'elle partage avec nous, selon certaines circonstances, j'ai pu le ressentir.


Un roman bien noir, que j'ai eu du mal à me détacher alors que la lecture n'était pas si intense. Mais je voulais en savoir plus sur la passé d'un côté et comment elle allait faire face à certain dilemmes.
Je ne pense pas que ce roman conviendrait à des ados de moins de 16 ans.
Même une fois fermé, il me reste à l'esprit...

dimanche 11 avril 2010

Dewey, Vicky Myron

Présentation de l'éditeur :
Comment un chat abandonné est-il devenu le symbole de l'Amérique d'aujourd'hui ? Comment a-t-il pu redonner vie à des dizaines d'enfants ? C'est cette histoire vraie, émouvante et rocambolesque que nous conte l'auteur. Par un matin d'hiver, Vicki Myron, attirée par des cris déchirants, découvre un chaton frigorifié dans la boîte aux lettres de la bibliothèque où elle travaille. Après l'avoir réchauffé, Vicki et ses collègues, conquis, décident de l'adopter. Dewey deviendra vite la mascotte de la bibliothèque et l'emblème de la ville de Spencer. Pendant 19 ans, Dewey, grand amateur de cheesebugers, d'ailes de poulet et fan de télévision, va révolutionner cette petite ville ! Il va apprendre à sourire aux enfants handicapés, attendrir les hommes d'affaires... et devenir le chouchou des médias, au point que les télés du monde entier viendront le filmer ! Vicki Myron, la bibliothécaire qui a partagé sa vie, nous raconte l'aventure extraordinaire de ce chat hors du commun. Dewey est décédé en 2006 d'une tumeur à l'estomac.


Mon mot à moi :
Avis à tout les amoureux de chats comme moi.
Vicky Myron est directrice d'une bibliothèque dans une petite ville de l'Iowa, Usa.
Elle nous raconte l'histoire extraordinaire d'un chaton, trouvé dans la boite où les gens peuvent glisser leurs livres en dehors de l'ouverture de la bibliothèque pour les rendre, en ce mois de janvier 1988.
Entre eux, ce sera une grande relation mais aussi plus que ca. Le chaton sera nommé Dewey et sera un char spécial. Toute l'équipe de la bibliothèque tombera amoureux pour lui. Vicky en fait un projet fou, si ce n'est audacieux, d'en faire un chat libraire. Une certaine façon de favoriser le contact entre les gens. Bien sûr certains d'entre eux ne le verront pas d'un bon oeil mais Vicky a réussi faire passé son projet.
Elle nous raconte Dewey. La manière que ce chat avait pour comprendre la douleur intérieure des personnes, patient avec les enfants, un chat qui raffole des rubans en caoutchouc, qui joue à cache-cache, etc.
Honnêtement, ce n'est pas d'en faire un résumé où d'en parler sans trop raconter le livre. Vicky Myron nous le raconte bien à travers ses 18 années avec ce drôle de chat. Durant cette lecture, beaucoup de sourires, quelques rires selon la situation ou passage mais à la fin l'inévitable est là. Si vous êtes sensible comme moi, préparez-vous un paquet de mouchoirs à vos cotés.

Ce que je regrette, c'est que cette belle histoire a eu une fin, et que ma bibliothèque n'ait pas de chat libraire. Deux oiu trois chapitres m'ont paru ennuyeux. Sinon, c'est une lecture que je recommanderais.


Dewey, le chat
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dimanche 4 avril 2010

Blog en vacances

Rapidement, un petit mot pour dire que je m'absente de la blogosphère jusqu'à vendredi. Je pars voir les italiens ( sûr qu'ils doivent être plus causant que les finlandais :p)
Malheureusement, je n'ai pas trouvé le temps aujourd'hui pour publier une critique :s
La lecture qui me tiendra compagnie sera "Dans les bois" de Harlan Coben (tant qu'à faire autant rendre un policier pour être sûr d'être accroché...

A bientôt

vendredi 2 avril 2010

Index alphabétique

Une de mes amies m'a demandé si je ne pouvais pas faire un index de mes lectures. J'y avais pensé et donc le voilà. Il sera sous un des onglet en haut.



ADAM, Olivier : A l'abri de rien
AUBERT, Brigitte : Une âme de trop







BARCLAY, Linwood : Crains le pire
BARRIE, James. M : Peter Pan 
BENNETT, Alan : La reine des lectrices
BINCHY, Maeve : Minding Frankie
BLACK, Holly : Les faucheurs, tome 1 : le chat blanc
BLOCK, Stefan Merrill : Histoire de l'oubli
BOURGEOIS, Laetitia : La chasse sauvage
BOYDEN, Joseph : Le chemin des âmes
BRANDRETH, Gyles : Oscar Wilde et le jeux de la mort
BRIJS, Stefan : Le faiseur d'anges

BRONTE, Charlotte : Jane Eyre
BRONTE, Emily : Le Haut de Hurle-vent

BROUILLET, Chrystine : Les fiancées de l'enfer
BROWN, Helen : Une amitié au-delà de la mort
BUCK, Pearl : Vent d'est, vent d'ouest
BUCKLEY, Carla : The things that keep us here
BUCKLEY, Christopher : Départs anticipés

 
CALMEL, Mireille : Le chant des sorcières *
CARVALHO, Bernardo : ' ta mère
CASSIDY, Anne : L'affaire Jennifer Jones
CHARREL, Marie : Une fois ne compte pas
CHESSEX, Jacques : Le vampire de Ropraz
CHEVALIER, Tracy : Prodigieuses créatures
COBEN, Harlan : Faute de preuves
COE, Jonathan : Testament à l'anglaise

COLLINS, Suzanne : Hunger Games

CONSTANTINE, Barbara : A Mélie, sans mélo
CONSTANTINE, Barbara : Allumer le chat
CRONIN, Justin : Le passage




DAHL, Roald : L'invité
DEGHELT, Frédérique : la vie d'une autre
DONOGHUE, Emma : Room
DOWNHAM, Jenny : Je veux vivre











ERRE, J.M : Prenez soins du chien

ESQUIVEL, Laura : Chocolat amer









 
FEATHERSTONE, Ann : Que le spectacle commence
FEIST, Raymond. E : Faërie

FFORDE, Jasper : L'affaire Jane Eyre
FFORDE, Jasper : Sauvez Hamlet !
FFORDE, Jasper : Le puits des histoires perdues
FFORDE, Jasper : Délivrez-moi
FOX MAZER, Norma : Le courage du papillon


FUJIMORI, Asuka : Nekotopia




FUNKE, Cornelia : Cœur d'encre








GAIMAN,  Neil : L'étrange vie de Nobody Owens

GALLAY, Claudie : Seule Venise 
GALLAY, Claudie : Les déferlantes


GARAT, Anne Marie : Dans la main du diable
GARCIA, Kami : 16 Lunes
GIBBONS, Stella : Cold comfort farm
GLASS, Julia : Refaire le monde 

GODBERSSEN, Anna : Tricheuse, tome 1 : Rebelles
GRELLEY, Julie : Anges

GRUEN, Sarah : Ape house






 
HARRIS, Joanne : Le rocher de Montmartre
HARRIS, Joanne : Chocolat


HARWOOD John : La séance 
HUET, Frédéric : Ma vie ratée d'Amélie Nothomb 
HUSTON, Nancy : L'empreinte de l'ange

HURLEY, Tonia : Gosthgirl, Homecoming
HURLEY, Tonia : Ghostgirl

HYLAND, Adrian : Le dernier rêve de la colombe diamant









INDRIDASON, Arnaldur : Hiver arctique
INDRIDASON, Arnaldur : La cité des jarres





JACOBS, Kate : Comfort food


 




Kallentoft, Mons : été
Katayama, Kyoichi : Un cri d'amour au centre du monde 
Kehlmann, Daniel : Gloire
KELLERMAN, Jesse : Les visages
Kessler, Brad : Hôtel des adieux

Kinsella, Sophie : Samantha, bonne rien à faire
KINSELLA, Sophie : Mini-accro du shopping
KINSELLA, Sophie : Lexi Smart a la mémoire qui flanche
KINSELLA, Sophie : Très chère Sadie

KIPLING, Rudyard : Le livre de la jungle
KIRINO Natsuo : Out
KOIKE, Marirko : le chat dans le cercueil
KRAUSS, Nicole : L'histoire de l'amour










LACKBERG, Camilla : Le prédicateur
LARSON, Leslie : Connexions
LEFEBRE, Francoise : Le petit prince cannibale
LEVY, Marc : Le premier jour 
LEVY, Marc : La première nuit


LEWINSKY, Charles : Melnitz






MAINARD, Dominique : Je voudrais tant que tu te souviennes
MALONE, Vincent : Cochon-Neige, ou les tribulations d'un cochon trop mignon...

MANKELL, Henning : Tea Bag
MANKELL, Henning : Les chaussures italiennes

MARTINEZ, Carole : Le cœur cousu

MAZETTI, Katarina : Les larmes de Tarzan
MAZETTI, Katarina : Le mec de la tombe d'à côté
MAZETTI, Katarina : Le caveau de famille

McNAMARA, Ali : From Notting Hill with love...actually
MIN, Anchee : Katherine
MISHIMA, Yukio : Dojoji et autres nouvelles
MURAIL, Marie-Aude : Miss Charity
MURAKAMI, Ryu : Audition
MYRON, Vicky : Dewey






NATSUME, Soseki : Je suis un chat
NEMIROVSKI, Irene : Les chiens et les loups
NGOZI ADICHIE, Chimamanda : L'hibiscus pourpre

 



 
O'Connor, Joseph : Redemption Fall
O'Faolain, Nuala : L'histoire de Chicago May


PANCOL, Katherine : Un homme à distance

PECASSOU-CAMEBRAC, Bernadette : L'impératrice des roses
PECASSOU- CAMEBRAC, Bernadette : La belle chocolatière

Q

R




REVAZ, Noelle : Rapport aux bêtes

ROSNAY (de), Tatiana  : Boomerang
RUIS ZAFÓN, Carlos : Le jeu de l'ange
RYAN, Carrie : La forêt des Damnées
RYTHKÈOU, Youri : L'étrangère aux yeux bleus





S


SA, Shan : Alexandre et Alestria
SA, Shan : Porte de la Paix céleste 


SACKVILLE-WEST, Vita : Toute passion abolie
SAFIER, David : Maudit Karma

SAM, Anna : Les tribulations d'une caissière

SAUBADE, Valérie : Happy birthday grand-mère
SAUBADE, Valérie : Marche arrière
SAUBADE, Valérie : Les petites soeurs

 SCHMITT, Eric-Emmanuel : Lorsque j'étais une oeuvre d'art
 SCHMITT, Eric-Emmanuel : La rêveuse d'Ostende
 SCHMITT, Eric-Emmanuel : Ulysse from Bagdad

SEE, Lisa : Le pavillon des pivoines
SEE, Lisa : Fleur de Neige

SENECAL,  Patrick : Sur le seuil
SHAFFER, Mary Ann : Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates



SIMONSON, Helen : Major Pettigrew's last stand
SOUVIRA, Jean-Marc : le vent t'emportera

STIEFVATER, Maggie : Frisson
STIEFVATER Maggie : Fièvre

STACE, Wesley : L'infortunée
STEIN, Garth : L'art de courir sous la pluie
STOCKETT, Katryn : La couleur des sentiments
 STOKER, Bram : Dracula
 SUTCLIFFE, William : Une semaine avec ma mère
 SWANN, Leonie : Qui a tué Glenn ?
SWARUP, Vikas : Les fabuleuses aventures d'un Indien malchanceux qui devint milliardaire



T



TOWNSEND, Sue : La Reine et moi
TRAN HUY, Minh : La double vie d'Anna Song
TURCKHEIM (de), Emilie Le joli mois de mai



U

V

VELLE, Catherine : Sœurs chocolat
 VENTURINI, Aurora : Les cousines
VERMALLE, Caroline : L'avant dernière chance

W


WACKENHEIM, Vincent : La revanche des otaries
WALIS, Velma : Le cadeau du froid, un conte d'Alaska
WEI LIANG, Diane : le papillon de papier
WEISGARBER, Ann : L'histoire très ordinaire de Rachel Dupree
WILDE, Oscar : Le portrait de Dorian Gray
WILSON, Laura : Un millier de mensonges
WINMAN, Sarah : When god was a rabbit
WOLFF, Isabel : Un amour vintage
WOOLF, Virginia : Mrs Dalloway

WRIGHT, Jason. F : Les lettres du mercredi

Y

X

Z


 
Header image by sabrinaeras @ Flickr