mardi 31 mars 2009

Testament à l'anglaise, Jonathan Coe

Présentation de l'éditeur :
Tabitha Winshaw a 81 ans et elle est folle. Démence sénile ? Pas du tout. Elle a perdu l'esprit un soir de l'hiver 1942 quand son frère préféré, Godfrey, a été abattu par la DCA allemande au-dessus de Berlin. Le chagrin alors ? Ce n'est pas cela non plus. Elle est persuadée que la mort de Godfrey a été commanditée par son frère aîné, Lawrence, qu'elle déteste. Une folle dans la famille, l'aristocratie britannique en a vu d'autres. Mais voilà que Tabitha se mêle de commander à Michael Owen, un jeune homme dépressif, une histoire de la dynastie des Winshaw qui occupe tous les postes-clés dans l'Angleterre des années quatre-vingt. Il y a du jeu de massacre dans l'air d'autant que Tabitha n'est peut-être pas aussi folle qu'il y paraît.



Mon avis :
Tout d'abord, je tiens a remercier Heureuse de me l'avoir envoyer. Je pensais être plus à l'aise de le lire en francais qu'en anglais, et je ne regrette pas de l'avoir lu en francais.
L'auteur nous fait connaitre l'Angleterre des années 80, sous Magaret Tatcher, à travers la famille Winshaw. Famille très cynique, égoiste, malveillante...C'est à travers les recherches de Michael Owen (auteur de la dynsatie de la famille) , ou de flash backs qu'on fait connaissance des derniers membres de la famille tout en revenant dans les années 90. Le roman contient beaucoup de politique anglaise du régime de M. Tatcher (il y a d'ailleur un chapitre sur un des personnages, j'ai trouvé que c'était trop politique, peut-être dut au fait que j'étais fievreuse ?) en y melant le genre policier, et sans oublier une touche du "british humour". La derniere partie du livre m'a fait rappeler à une partie du jeux Cluedo. Un roman que j'ai apprécié pour ses personnages (même s'ils sont cyniques) les genres qu'on retrouve qui s'y melent très bien. Et surtout la fin !

samedi 28 mars 2009

Extraits "dernières nouvelles des oiseaux" Erik Orsenna

Voici deux extraits d'un roman que j'ai fini de lire hier :

"Au même moment, de l'autre côté d'un bras de l'océan Atlantique nommé Manche et par-delà un rocher coiffé de lande nommé Cornouailles, bref, dans l'un des plus beaux endroits du monde, le pays de Galles, une certaine Mme Abergwaun vivait des tourments pires encore.

Sa fille de neuf ans, Morwenna, était sans cesse convoquée au commissariat de police. Où personne ne perdait plus sa patience à l'interroger. On connaissait par coeur ses réponses :
- Pourquoi fais-tu ca ?
- Parce que j'aime.

- Tu sais qu'à cause de toi les oiseaux souffrent ?
- L'amour fait souffrir.
- Que connais-tu de l'amour, à ton âge ?
- J'ai vu maman pleurer.
- Bon. Tu promets de ne plus recommencer ?
- Non!
- Et pourquoi donc ?
- Parce que je suis franche. Alors, comme je vais forcément recommencer, je préfère ne pas promettre.
- Méfie-toi ! La prochaine fois, tu passera la nuit dans notre prison.
- Normal."


"La honte est un méchant microbe.
Quand il entre en quelqu'un, il lui ronge la volonté, la gaieté, tout ce qui donne l'envie et le plaisir de vivre. Le honteux s'emfouit sous terre, comme un animal qui hiberne. Il s'enferme en lui-même. Il ne répond plus aux paroles ni aux sourires. Il demeure immobile, les mains moites et les yeux baissés, accrochés à la pointe de ses chaussures.
[...]
La honte est un microbe tenace. Aucun médicament n'est efficace contre lui. Il faut de grands projets pour s'en débarrasser"

Les fabuleuses aventures d'un Indien malchanceux qui devient milliardaire, Vikas Swarup

Présentation de l'éditeur :

Quand le jeune Ram Mohammad Thomas devient le grand vainqueur de " Qui veut gagner un milliard de roupies ? ", la production soupçonne immédiatement une tricherie. Comment un serveur de dix-huit ans, pauvre et inculte, serait-il assez malin pour répondre à treize questions pernicieuses ? Accusé d'escroquerie, sommé de s'expliquer, Thomas replonge alors dans l'histoire de sa vie... Car ces réponses, il ne les a pas apprises dans les livres, mais au hasard de ses aventures mouvementées ! Du prêtre louche qui laisse trop volontiers venir à lui les petits enfants à la capricieuse diva de Bollywood, des jeunes mendiants des bidonvilles de Bombay aux touristes fortunés du Taj Mahal, au fil de ses rencontres, le jeune homme va apprendre que la fortune sourit aux audacieux...


Mon avis :

Je ne sais combien de fois j'avais vu la couverture du livre francais, et n'ai jamais accroché. Titre trop long ?

En tout cas lorsque j'ai vu que Heureuse l'avait lu, et lu ce qu'elle en disait, je me suis pourquoi pas. Surtout que j'avais l'intention de voir la version cinématographique de Dany Boyle "Slumdog millionnaire".
J'avais une vague idée de l'histoire mais je ne m'attendais pas à l'histoire que j'ai lu...il est vrai dès les premières pages qu'on peut se demander comment un jeune homme de son "rang de société" a pu gaganer à ce jeux télévisé. Pour ca, je vous laisserais le soin de lire son histoire, comment il a su les réponses ! Pas forcement besoin d'aller à l'école pour apprendre :p

J'aimerais dire que c'est une "belle" histoire mais lorsqu'on lit sa vie, elle n'était pas si belle que ca. Pleines d'aventures qui lui ont appris des choses certes. Là où j'ai été surprise c'était dans les dernières pages, mais je n'en dirai pas plus :p

Livre que j'ai lu en anglais, et pour ceux et celles qui veulent le lire dans la langue de Shakespeare, le premier titre original était " Q & A" (d'ou la raison de la photo du livre en anglais). Titre qui correspond très bien au roman. Ensuite bien sur vous povez le trouvez sous le nom de "Slumdog millionnaire".

L'avais de Heureuse ici.




jeudi 26 mars 2009

Chocolat, Joanne Harris

Quatrième de couverture : Lansquenet est un petit village au coeur de la France où la vie s'écoule, paisible et immuable. L'arrivée d'une mystérieuse jeune femme, Vianne Rocher, et de sa fille, Anouk, va tout bouleverser. D'autant qu'elle s'avise d'ouvrir une confiserie juste en face de l'église, la veille du carême !

Dans sa boutique, Vianne propose d'irrésistibles sucreries. Et beaucoup succombent à son charme et à ses friandises... Car le chocolat de Vianne soigne les espoirs perdus et réveille des sentiments inattendus. Tout cela n'est pas du goût du comte de Reynaud et du curé, convaincus tous deux que les douceurs de Vianne menacent l'ordre et la moralité... En tout cas, la guerre est déclarée. Deux camps vont s'affronter : les partisans des promesses célestes et ceux des délices terrestres.



Mon avis :

Que dire de ce magnifique roman. Oui, oui c'est bien de ce roman qu'est tiré le film, Chocolat. Un roman remplit de personnages avec de bons caractères et d'autres moins bons. Mais n'oublions que nous sommes dans un village, ou petite ville fermée, où lorsqu'un nouvel habitant s'installe, il n'est pas forcement le bienvenu, on tourne autour de cette personne. Dans Chocolat, c'est Vianne, jeunne femme qui a beaucoup voyagé depuis se plus tendre enfance avec sa mère, qui a decouvert beaucoup de cultures differentes, de maniere de vivre. On apprend au fur et a mesure sur elle. Certaines personnes, ou dois-je dire une personne, verront en elle le mal absolu. Surtout qu'elle ose ouvrir une chocolaterie la veille de careme. Pourtant certains des villageois se laisseront tenter par ses chocolats avec un pur plaisir. Puis sa presence changera les caractères de certains...

L'auteur nous décrit le chocolat d'une manière qu'il nous met l'eau à la bouche, j'ai eu l'impression que cette gourmandise était à ma porté de main, que le gout était dans ma bouche, miam miam. En gros ca donnait envie surtout aussi d'aller dans son placard et d'avoir du vrai de vrai en main :)

J'ai lu le roman en anglais. J'ai juste été surprise par le fait que le livre est à deux voix : Viannes, et le curée du village qui lui cherche défauts. Surprise dans le sens où, j'ai été surprise en arrivant à la voix du curée sans m'y attendre. Mais la maniere dont c'était écrit c'était facile de savoir qui c'était !


lundi 23 mars 2009

A vintage affair, Isabel Wolff

Avant tout, sachez que le livre n'a pas encore été traduit en francais.

L'histoire est celle de Phoebe, qui après un drame survenu quelques mois plus tôt, avait besoin d'un changement radical. Elle ouvre son propre magasin " Village Vintage" (vêtements des années 20 au début 80). Les vêtements "vintages" ca la connait, c'est une de ses passions, et en a fait son travail. Phoebe adore donner une seconde vie à ces vêtements.
En se rendant chez une viellei dame, Mrs Bells, qui souhaite lui vendre certains de ses habits, Phoebe découvre un très joli manteau bleu, impeccable, et en tres bon état, comme s'il a été peu porté. Mrs Bells ne souhaite pas le vendre, ceder. Pourtant, la vielle femme racontera à notre jeune héroine son histoire. Phoebe ne peut s'empecher de penser alors au drame qu'il est arrivé dans sa vie quelques mois auparavent.

Elle se liera d'amitié avec cette vieille dame. A coté sa vie sera remplie entre résonner sa mère sur certaines décisions, ses nouvelles amitiés qui menera peut-être à l'amour...mais l'amour n'est pas toujours facile d'accès.
Un roman que j'ai beaucoup apprécié (comme tous ceux de cette auteure que j'adore)
J'ai beaucoup aimé le lien entre ses deux générations différentes (Phoebe - Mrs Bells) qui ont un point commun dans leurs histoire, ce que ressent Phoebe vis à vis de l'histoire de Mrs Bells et comment elle souhaiterais l'aider...
Puis aussi lors de la descriptions de certaines tenues ca m'a fait rêver, surtout pour une robe de soirée, que beaucoup appelé "the happy dress" ou bien la robe de la fée Clochette.
Je tiens à présciser que l'histoire ne se consacre pas seulement entre elles !

(Trop parresseuse pour traduire la quatrieme page :p )

vendredi 20 mars 2009

La grammaire est une chanson douce, Erik Orsenna

Présentation de l'éditeur : Jeanne, la narratrice, pourrait être la petite soeur d'Alice, précipitée dans un monde où les repères familiers sont bouleversés. Avec son frère aîné, Thomas, elle voyage beaucoup. Un jour leur bateau fait naufrage et, seuls rescapés, ils échouent miraculeusement sur une île inconnue. Mais la tempête les avait tant secoués qu'elle les avait vidés de leurs mots, privés de parole. Accueillis par Monsieur Henri, un musicien poète et charmeur, ils découvriront un territoire magique où les mots mènent leur vie : ils se déguisent, se maquillent, se marient.

Mon avis :
Premier roman que je lis de cet auteur et j'ai beaucoup aimé son style d'écriture assez simple. L'auteur joue avec les mots, et ca se voit durant la lecture de cette courte histoire. Histoire avec quelques illustrations forts sympathiques.
Histoire trop courte à mon gout car elle m'a permis de voir la grammaire d'une autre facon, et surtout de la rédécpuvrir avec plaisir. Dommage qu'on nous fait pas voir la grammaire sous cette facon à l'école, j'aurai peut-être plus facilement accroché ! Un livre à lire et à relire !

Extraits : "[...] Ce matin-là, ils étaient trois, un pou, un hibou et un genou. Ils se moquaient d'une marchande qui leur proposait des "s" : - Mes "s" sont adhésifs. Vous n'aurez qu'à vous les coller sur le cul pour devenir des pluriels. Un pluriel a quand même plus de classe q'un singulier. Les trois amis ricanèrent: - Des "s", comme tout le monde ? Pas question. Nous préférons le "x". Oui, "x", come les films érotiques interdits aux moins de dix-huit ans. La marchande s'enfuit en rougissant."

"Pauvre "je t'aime". Parviendront-ils `a la sauver ? Monsieur Henri était aussi boulversé que moi. Des larmes me venaient dans la gorge. Elles n'arrivaient pas à monter jusqu'à mes yeux. Nous partons en nous des larmes trop lourdes. Celles-là, nous ne pourrons jamais les pleurer. -...Je t'aime. Tout le monde dit et répète "je t'aime". Tu te souviens du marché ? Il faut faire attention aux mots. Ne pas les répéter à tout bout de champ. Ni les emplyer à tort et à travers, les uns pour les autres, en racontant des mensonges. Autrement, les mots s'usent. Et parfois, il est trop tard pour les sauver. [...]"

mercredi 18 mars 2009

Ulysse from Bagdad, Eric-Emmanuel Schmitt

Présentation de l'éditeur :
Saad veut quitter Bagdad, son chaos, pour gagner l'Europe, la liberté, un avenir. Mais comment franchir les frontières sans un dinar en poche ? Comment, tel Ulysse, affronter les tempêtes, survivre aux naufrages, échapper aux trafiquants d'opium, ignorer le chant des sirènes devenues rockeuses, se soustraire à la cruauté d'un geôlier cyclopéen ou s'arracher aux enchantements amoureux d'une Calypso sicilienne ?

Mon avis :
Honnêtement, j'ai été un peu dérouté par ce dernier roman d'E.E Schmitt. Je dois reconnaitre que j'en ai pas beaucoup lu (
L'enfant de Noé, L'évangile selon Pilate, Oscar et la dame rose, et, Odette Toulemonde) et que ces lectures traitaient d'autres sujets.
Les premières pages m'ont parut un peu longue. Puis il y cette touche que je ne lui connaissais pas mais qu'on retrouve chez M. Levy, et G. Musso...je ne lui en veux pas, j'étais juste surprise et ayant lu un Marc Levy quelques semaines avant...
Quand au sujet de son roman, et de son personnage, qui m'a paru fort sympatique, "Saad Saad qui veut dire Espoir Espoir en arabe ou triste triste en anglais" m'ont beaucoup plus. L'auteur touche un sujet sensible, qui est toujours au coeur de l'actualité : la clandestinité ; les sans-papiers. Sans oublier ce qu'il va avec bien souvent en backgroud : la guerre. Son personnage héroique sera Saad qui rêvera à une certaine destination en Europe. On le suivra alors dans ses "démarches" pour quitter son pays, sa famille pour un mon de meilleur. Comment s'y prendra-t-il ? Qu'est-ce que cela lui coutera ?
On le suivra également dans ses sentiments : partagé entre l'espor et le désespoir. Faire attention à ne pas se faire prendre par les douaniers...
E.E Schmitt nous décris les conditions des voyageurs clandestins tel qu'il doit être dans la vie . Extrait : "Nous nous agglutinames. De toute facon, il n'y avait que deux solutions : soit nous empiler à l'horizentale avec la certitude qu'étoufferaient ceux du dessous, soit nous serrer, le bras de l'un dans les côtes de l'autre, les épaules de celui-ci dans les omoplates de celui-là. heureusement, chacun, par respect pour lui-même et ses compagnons, s'était astiqué pour la route ; les vêtements n'empestaient pas la sueur ou le gras, les peaux ne sentaient pas ni la crasse ni l'urine [...]".
Puis arriver à un pays où des gens aideront distraitements les sans-papiers à se cacher. Fait réel puisque je me souviens d'avoir vu un petit reportage dessus. Ces personnes risquent la prison comme les passeurs.
mais la question qu'on pourra se poser, du moins moi je me la suis posée, est-ce que Saad sera heureux une fois arriver à sa destination ?
Finalement un roman qui m'a plu par l'écriture de l'auteur comme à son habitude, et qui m'a touché. Un roman qui laisse réfléchir.

dimanche 15 mars 2009

Extraits "Ulysse from Bagdad" E.E Schmitt

Roman que j'ai fini de lire il y a quelques jours (mercredi apparaitra mon avis) et dont j'ai noté quelques extraits que voici :

"Un matin, en entamant ma toilette, je remarquai trois points sombres sous mes pieds, que je montrai aussitôt à mon père.
- Des verrues, fils.
- J'en ai jamais eu !
- Souvent, les verrues apparaissent après qu'on a conduit un mort en terre.
- Cela vient des cercueils ? Des cadavres ?
- Non.
- De toute facon, je n'ai accompagné personne en terre...
- Choc émotif, fils. J'usais d'une métaphore pour te suggérer que les verrues naissent des chagrins.
- Recu cinq sur cinq ! Je suis traumatisé, c'est ca ?
- Les verrues sont des fleurs que les âmes tourmentées font éclore sur leur peau. "


"Peu après, la lune se penscha vers moi, m'adressa un sourire tendre, ses yeux me rappelant ceux de ma mère et sa bouche celle de Leila. Je crois que la lune tenta même de m'embrasser lorsqu'un coup de vent, repoussant notre équipage, l'en empêcha."


"-Papa, crois-tu que les rêves ont un sens?
- Bien sûr fils. Les rêvs ne nous apprenent pas ce qui va se passer mais ce qui se passe. Loin de nous indiquer l'avenir, ils nous revelent le présent avec une exactitude que ne possède aucune pensée. Tes rêves te préviennent de ce qu tu es, surtout après une journée qui t'a brassé, fracssé, morcelé contraint à des règles ou des devoirs. La vie éveillée nous ensevelit puisqu'elle nous disperse et nous socialise ; seul le rêve réveille ce que nous sommes."

samedi 14 mars 2009

Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites, Marc Levy


--Présentation de l'éditeur :

Avec "toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites", marc Levy revient au style de roman qui l'a fait connaitre : une comédie romantique, pleine de suspense, mais aussi de tendresse, d'humour, et teintée de merveilleux. C'est peut-être de "Et si c'était vrai" que ce roman est le plus proche, pour le côté fantastique -mais l'intriguerepose sur une idée plus originale. On y trouve la profondeur des sentiments de "où es-tu?", et le rythme trépidant de "la prochaine fois": Au coeur de cette nouvelle hitoire : la relation entre un père et une fille, et l'histoire d'unpremier amour...Un père disparu surgit dans la vie de sa fille de facon un peu surnaturelle...C'est le début d'une longue conversation entre eux deux, et d'un voyage qui va les mener de New-York à Berlin en passant par Montréal - à la recherche de l'homme dont l'héroine fut éperdument amoureuse quand elle avait vingt ans...


Mon avis :

Je ne me suis pas précipitée pour l'emprunter à la bibliothèque malgrès les bonnes critiques que j'avais lu. Je reconnais que j'ai retrouvé le "ton" des tout premiers romans de M. Levy.

On y retrouve tout les ingrédient bien connu des romans de M. Levy : de l'amour, et un peu de surnaturelle.

L'histoire de cette jeune femme, Julia, qui apprend quelques jours avant son marraige que son père - qui a été souvent absent dans sa vie - ne viendra pas. Mais cette fois-ci il a une très bonne raison. Le lendemain du jour qui était censé être le plus beau jour de sa vie, elle aura une surprsie de taille !
L'auteur nous entraine alors dans la relation père- fille mais dans le sens où le père a été souvent absent : ils auront alors une longue conversation durant un voyage avec beaucoup de flash-back. Mais voilà qu'au fil des pages on pourra comprendre que ce voyage -qui peut donner l'impression de jamais finir- n'a pas seulement un but, mais deux...que je ne dirais pas pour éviter de gacher la lecture à ceux qui veulent le lire.
Juste une petite note, vers la fin l'auteur nous laisse le libre arbitre sur un personnage et j'aurais bien savoir ce que ceux qui l'ont lu pensent.
J'ai bien aimé l'histoire peut être un peu trop de flash-back. Comme tout ses romans, il se laisse lire avec plaisir.

Pour lire un extrait, ou du moins les premieres pages je vous recommande d'aller sur le site du roman : ici.


Présentation de ce blog et de moi-même

Bienvenue dans mon antre ! Comme l'indique le nom de mon blog, j'adore les livres, je ne les lis pas pour certains mais les dévore...J'en lis en moyenne deux à trois par semaine (selon le nombre de page, en moyenne 900pages/semaine) Il fut un temps où je m'étais nichée sur un autre blog et puis arreter par manque de temps... Puis, je me suis apercu il y a quelques semaines que ca me manque de pas partager mes lectures et décider de faire cet antre dédié à mes lectures.
Du moins pas de toutes mes lectures car sinon je ne m'en sortirais pas. Mais une selection de livres que je souhaite parler.
Souvent il m'arrive de mettre des extraits que j'ai pris soins de noter. Ne soyez pas surpeis si vous y trouvez des photos...de livres. Car pres tout même si c'est un blog litteraire, je pense que ces photos (de moi) ont leur place ici tout aussi bien. Et puis surement des petits poèmes...

Quand à moi, je suis une francaise, une fleur du sud, vivant en Finlande depuis sept. 2005. Je lis les romans aussi bien anglais qu'en fancais. Du moins quand je trouve un titre sur le blog de mon amie Heureuse, j'ai plus de chance de le trouver en anglais. Généralement je laisse savoir lorsque je les lis en anglais. J'ai de la chance qu'à Helsinki, il y a un très bon résaux de bibliotheques ( helmet.fi) Helsinki/Espoo/Vantaa où je peux trouver des romans en francais aussi ! Pas forcement des vieux auteurs démodés mais des contemporains comme Marc Levy, E.E Schmitt, M. Chattam, et j'en passe. Je suis en train de reflechir si eventuellement je laisserais savoir si tel roman francais est à la bibliotheque...
Puis il y aussi ce qui fait mon plus grand bonheur, les bouquinistes. J'adore, tout comme les bibliotheques, y flaner.
J'ai pour autres passion la photographie, les voyages, me balader. Et en ce qui concerne d'autre, je suis une grosse gourmande !
 
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