samedi 31 octobre 2009

Totto-Chan :la petite fille à la fênetre, Tetsuko Kuroyanagi

Présentation de l'éditeur :
Tokyo, début des années 1940. Tetsuko, alias " Totto-chan ", mène la vie dure à son institutrice qui finit par la renvoyer. Ses parents l'inscrivent alors à Tomoe, petite école éprise de liberté où de vieux wagons font office de salles de classe. Là-bas, l'expérience de la vie est aussi importante que les leçons. Et grâce à un directeur atypique, Totto-chan réapprend à respecter les autres et à s'estimer elle-même. Elle prend goût à l'étude, assume ses échecs et gagne en autonomie, écrit des haïkus et rêve de danser. Elle comprend aussi ce que sont le racisme et l'intolérance, et découvre la guerre. En 1945,Tomoe est détruite par les bombardements. Cependant, en quelques années seulement, cette institution pas comme les autres aura déterminé la vie entière de Tetsuko, aujourd'hui vedette de la télévision japonaise.


Ce que j'en dis :
L'auteur nous raconte ses souvenirs lorsque elle commençait à aller à l'école. Une drôle d'école toute fois car les classes se faisaient dans des veux wagons, le directeur avait ses propres idées sur l'éducation. D'ailleurs à la fin de certains cours chapitres, l'auteur nous laisse savoir pour quelles raisons le directeur prenait telles décisions. Par exemple, il demandait à ce que les enfants viennent habiller avec de vieux vêtements et non neufs. Je vous laisse deviner pourquoi. Au cours de musique, les enfants écrivaient à même le sol et nettoyer eux même ensuite. Il leur demandait d'amener dans leur bento (petite boite où les japonais mettent leur repas du midi) qu'il est quelques choses de la mer et de la montagne : de cette façon les enfants mangeaient un peu de tout.
Une découverte sur cette scolarité bien particulière qui je suppose avait dut être mal percu à ce temps là.

Pour résumé le roman, je citerais l'auteur :
"Ainsi que je l'ai évoqué dans ce livre, Mr Kobayashi avait une conception très précise de l'éducation : "Chaque enfant vient au monde avec une naturefoncièerement bonne qui, avec le temps, peut se dégrader n fonction de son environment et de l'influence des adultes de so entourage. Il faut donc trouver cette "bonne nature" e la cultiver au plus vite pour faire d'un enfant un individu à part entière". Le directeur souhaitait que la personnalité des enfants se dévelope le plus naturellement possible [...]"
A la fin de cette histoire, l'auteur nous laisse savoir ce que sont devenu ses anciens camarades.

Un récit que j'ai eaucoup aimé et je pense que cela interresera peut être Heureuse et Mimi.

jeudi 29 octobre 2009

Gloire, Daniel Kehlmann

Présentation de l'éditeur :
Un homme ordinaire reçoit de nombreux appels destinés à une célébrité et se prend au jeu; un acteur de cinéma ne reçoit plus d'appels et commence à douter de sa carrière; un richissime écrivain de livres de sagesse renie tout ce qu'il a professé jusqu'alors; une femme décide de mourir, et se révolte contre l'écrivain qui l'a inventée; un écrivain de romans policiers se perd en Asie centrale où son portable ne fonctionne plus; un cadre supérieur gagne, grâce à son portable, le pouvoir de ne plus se trouver là où on l'imagine; et l'acteur du début, cherchant enfin l'anonymat, compte se servir de son double... Dans le rythme vif et musical qu'on lui connaît, Daniel Kehlmann compose dans son nouveau roman une mosaïque joyeuse et ironique à partir de notre société où les moyens de communication mettent en question le lieu même du réel - pendant que la course à la renommée fait tourner la tête à plus d'un. Daniel Kehlmann n'a pas fini d'étonner ses lecteurs et se joue allègrement de sa propre gloire. Un vrai régal littéraire - et divertissement garanti.


Ce que j'en dit :

C'est la couverture de ce petit livre qui m'a attiré et je ne l'ai pas regretté.
Au début de ma lecture je pensais lire des nouvelles malgrès que sur le devant de la couverture il est écrit "roman en neuf histoires".
En effet neuf histoires qui regroupent dans l'une ou l'autre un ou deux personnage d'une histoire précédente ayanat toute le thème : La gloire. La gloire dans tout ses états : un auteur qui passe son temps à faire des crises d'anxiétés, de se plaindre et qui n'accepte pas qu'on ne sache pas qui il est ; un acteur qui lui ne comprend pas ce qui lui arrive : plus personne ne l'appelle et il lui arrivera une chose assez déroutante. Un technicien recoit des appels qui ne lui sont pas destinée et s'y prend au jeu sans savoir qu'il va changer la vie d'une autre personne...
J'ai beaucoup aimé les cinq premières, les quatres dernières un peu moins, du moins deux d'entre elles pas du tout.
La quatrième couverture décrit très bien le roman. Quand à l'auteur c'était mon premier.

mardi 27 octobre 2009

Un cri d'amour au centre du monde, Kyoichi Katayama

Quatrième couverture :
Qu’advient-il de l’amour quand l’être aimé disparaît ?
Sakutaro et Aki se rencontrent au collège dans une ville de province du Japon. Leur relation évolue de l’amitié à l’amour lorsqu’ils se retrouvent ensemble au lycée. En classe de première, Aki tombe malade. Atteinte de leucémie, elle sera emportée en quelques semaines.
Sakutaro se souvient de leur premier baiser, de leurs rendez-vous amoureux, du pèlerinage en Australie entrepris en sa mémoire. Quel sens donner à sa souffrance ? Comment pourrait-il aimer à nouveau ?


Moi :
Roman remplis d'amour sous une forme poétique, malgrès un voile de tristesse. L'histoire est celle de Sakutaro qui est le narrateur de cette histoire, et de Aki. Ils se racontrent à 14 ans et se lient d'amitié. A 16 ans, ils sont amoureux mais voilà Aki tombe gravement malade.
Une bonne partie du roman est sur leur relation, leurs souvenirs. Ils parlent souvent de l'amour mais celui où une personne fait son deuil...comme le grand-père de Sakutaro qui aima une autre femme à laquelle il ne put se marier, mais pendant près de 50 ans ils se voyaient, pensèrent à chacun. Le grand pere demanda à son petit fils qui l'avait choqué...c'est un sujet auqeul ils revenaient souvent.
Malheureusement je n'ai plus la copie sous la main et je n'ai pas eu le temps de retranscrire dans mon carnet deux extraits dont un concernait l'histoire d'amour du grand-père de Sakutaro.
Quand à ce dernier, il essaiera d'apprendre à son petit fils que la vie continue malgrès le changrin, qu'il aimera à nouveau.
Tres beau roman que je recommande.

Voici un article qui parle mieux que moi du roman avec quelques phrases extraites du roman : !

dimanche 25 octobre 2009

Le livre des choses perdus, John Connolly

Présentation de l'éditeur :
Roman que j'ai souhaité lire après avoir lu la présentation de l'éditeur chez Blog-o-book (livre lu en anglais "The book of the lost things")

Inconsolable depuis la mort de sa mère, David, 12 ans, se réfugie dans les livres pour fuir le remariage de son père et oublier la naissance de Georgie, son demi-frère. Une nuit, alors que depuis quelque temps, déjà, des phénomènes étranges se produisent, David croit entendre la voix de sa mère. Il la suit et découvre un passage caché derrière des buissons, au fond du jardin. Il le franchit et se retrouve alors propulsé dans un univers parallèle, un monde étrange et hostile peuplé de trolls, de Sires-Loups, de créatures hybrides et d’autres personnages issus de ses lectures et de son imaginaire… Grâce à l’aide du Garde-Forestier et de Roland, un preux chevalier, il va, après bien des épreuves – combats, énigmes à résoudre, pièges à déjouer… – rencontrer un vieux roi qui conserve ses secrets dans un volume mystérieux,
Le Livre des choses perdues, sésame qui permettrait à David de regagner le monde réel. Mais l’Homme Biscornu, être maléfique qui épie David depuis son arrivée, ne l’entend pas ainsi. Il a pour lui bien d’autres desseins…

Ce que j'en dis :
Roman - pour adultes mais aussi bien pour adolescents- que j'ai dévoré pour son sujet : un livre qui nous ramène au milieux de légendes et contes sous forme d'aventure par l'intermédiaire du personnage de David.
David, 12 ans, fait le deuil de sa mere. Son pèer s'est remarié et a emménagé chez sa nouvelle épouse. David adore les livres depuis qu'il est tout petit. Sa mère lui a appris cet amour.
Il attends les livres lui murmuraient. Par une nuit, dans les années 1940 - temps de guerre, David se retrouve dehors dans le jardin pour se retriuver sur une terre étrange qui y mèle contes et légendes par leurs personnages : ceux qui lui font peur ( Croquemitaine en version anglaise, sinon l'homme Biscornu), et d'autres auqeuls il s'attachera.
Le voilà donc seul dans un monde étrange, où les personnages de contes n'ont rien à voir ceux que nous connaissons comme le petit chaperon rouge (courte version complètement différente de celle de Perrault ou celle que nous racontons aux enfants) Hans et Gretel, les 7 nains que David croissera sur son chemin avec une très particulière Balnche Neige... Mais il y aussi ce personnage qui n'arrête pas de tourner autour de David d'une certaine facon. L'homme Biscornu . Que lui veut-il vraiment ? Pourquoi insiste-t-il toujours sur un même point ?
David, malgrès sa peur trouvera la force et le courage d'aller au devant des obstacles pour pouvoir rentrer chez lui.
Quand au livre des choses perdues, nous en apprendrons plus vers la fin du roman et ce livre portera bien son nom.

Un livre que j'ai bien aimé comme je l'ai écrit au début. Si vous aimez les contes, légendes, et n'ayez pas peur d'en lire de nouvelles versions sur les personnages, lisez-le !

Extrait :
Cliquez ici !

vendredi 23 octobre 2009

Vieille menteuse, Anne Fine

Présentation de l'éditeur :
Socialement, Colin est un brave citoyen sans ambition. Employé municipal, il mène une vie de vieux garçon, attaché à une mère tyrannique et qui lui fait constamment sentir qu’elle ne l’aime pas. Dans un sens, Dilys, sa sœur jumelle, s’en est mieux sortie : elle ne rend jamais visite à leur mère, se tient à distance. En fait, Colin a un secret, et même plusieurs. Il est dans son rêve. Surtout, il entretient une relation affective profonde avec une ancienne acrobate du cirque et sa petite sœur de trois ans, Tamina.

Moi :
L'histoire d'un homme, Colin, qui s'occupe de sa vieille mère tyrannique. Colin est un homme très timide qu'il considère comme un handicap. Sa soeur jumelle Dilys, est plus chanceuse : après une dispute avec leur mère, les deux femmes ne se parlent plus et ne se voient plus.
Mais voilà, Colin n'est pas seulement persecuter par sa mère, il y a aussi son travail et Predita, collègue de sa soeur. Il se réfugie dans son imagination. Comme lorsqu'il va voir Tammy et sa mère Mel : il se fait toujours des "films" mais il est aussitot decu lorsque la realité le rattrape.
Puis voilà que Colin commence, sans que je m'en rende vraiment compte - est ce dut à certaines circonstances de faits? - prend un peu plus sur lui-même...

Roman que j'ai aimé mais sans plus. L'humour anglais était là. Etait-ce le fait que quelques jours plus tôt j'avais lu un roman où il y avait aussu une mémé plus ou moins tyrannique ? Je ne sais pas mais je m'attendais à autre chose comme lecture aussi.

mardi 20 octobre 2009

La cité des jarres, Arnaldur Indridason

Présentation de l'éditeur :
Un nouveau cadavre est retrouvé à Reykjavik. L'inspecteur Erlendur est de mauvaise humeur : encore un de ces meurtres typiquement islandais, un " truc bête et méchant " qui fait perdre son temps à la police... Des photos pornographiques retrouvées chez la victime révèlent une affaire vieille de quarante ans. Et le conduisent tout droit à la " cité des Jarres ", une abominable collection de bocaux renfermant des organes...

Moi:
Avis aux amateurs de romans policer scandinave (Danemark, Suede, et, Norvege) et pays nordiques (Finlande, Islande).
Celui-ci se passe en Islande, dans la caitale, Reykjavik. L'inspecteur Erlendur et son équipe tournent autour de cette mort. Tout les points sont bon à voir, même si certains d'entre eux en doutent.
Puis il y a cette drôle, ou plutot particuliere, photo que l'inspecteur a trouvé dans un tiroir du bureau de la victime. Que peut-elle bien signifier au-pres de cette dernière personne.
Sans oublier la mauvaise humeur legendaire de l'inspcteur avec ses problemes famillials.


Deuxième roman que je lis de cet auteur, et que j'ai un peu plus aimé que "la femme en vert" (beaucoup de faute de grammaire dans la traduction) même si j'y ai retrouvé un sujet commun : violence sur les femmes. Il y traite aussi des maladies genetiques. Roman ficelé. Une enquête pas facile qui a ses surprises.

En le lisant, je n'ai pu m'empecher de comparer Erlandur à l'inspceteur des romans de Henning Mankell (Suède). Point commun entre les deux : divorcés, toujours en train de soucier pour leurs filles (delinquante pour l'un, et école de police pour l'autre).


Donc pour ceux qui adorent les roman du grand nord, n'hésitez pas.

dimanche 18 octobre 2009

Happy birthday grand-mère, Valérie Saubade

Présentation de l'éditeur :
" J'ai décidé hier après-midi de tuer ma fille. A quatre-vingts ans, cela ne va pas être facile. D'autant que je me déplace en fauteuil roulant." Mais cette octogénaire hémiplégique est bien déterminée à parvenir à ses fins. Car entre mère et fille, la haine est réciproque et implacable. Ancienne pianiste, adulée par les hommes, despotique, Eleonore ne s'est jamais préoccupée de personne sauf d'elle-même. Terne et aigrie, sa fille Elisabeth attend de pied ferme l'héritage. Et soigne sa mère indigne de façon très personnelle...


Ce que j'en dis :

Des la première phrase le ton du roman est donné : "J'ai décidé hier après-midi de tuer ma fille. A quatre-vingts ans, cela ne va pas être facile. D'autant que je me déplace en fauteuil roulant. "
Nous sommes au mois de mai, et grand-mère fête ses 80 ans. Depuis deux ans elle est hémiplegique et en fait voir de toutes les couleurs à sa fille Elisabeth. Il est vrai que cette dernière n'est pas tendre envers sa mère. Et pourtant elle espere hériter de la maison ! Mais c'est bien décidé, grand-mère a pris la décision de l'éliminer. Chaque chapitre représente un mois où grand-mère narre les points les plus importants qui sont arrivés sous son toit, autour d'elle. Elle se rémémore par moment son passé, ce qui nous aide à comprendre quel genre de femme et mère elle était. Sa fille ne lui manquera pas de faire de sales coups, grand-mère s'en sortira. Elle est forte. Puis surtout elle se liera de complicité avec sa demoiselle de compagnie Charlotte, personnage attachante.
Lorsque ma lecture approchait de sa fin, je me demandais si une des deux mourira, et si oui, laquelle.

Roman que j'ai beaucoup aimé pour son humour noir. C'est un livre que j'ai dévoré : j'ai adoré l'écriture (ce n'est pas de la grande littérature non plus !) et les personnages de grand-mère et de sa fille qui se détestent mutuellement. Car grand-mère joue selon l'humeur de sa fille à la rendre plus mauvaise si cette dernieree st joyeuse...Sans oublier Charlotte qui apporte de la fraicheur, et de la jeunesse comme le dira la vieille femme.

Un roman à lire !

jeudi 15 octobre 2009

Les fiancées de l'enfer, Chrystine Brouillet

Présentation de l'éditeur :
Le cadavre gisait sur la chaussée dans une position fœtale, comme si la victime s'était recroquevillée sur sa douleur. Un voile noir avait vite obscurci son existence, l'avait délivrée de l'horreur qu'elle venait de vivre. Cette fois encore, le violeur avait marqué sa victime. Une lettre gravée dans la chair, sous le sein gauche, et quatre traits sanglants, formant une croix comme Maud Graham n'en avait jamais vu. Les blessures n'étaient pas très larges, mais la douleur conjuguée à la terreur avaient profondément traumatisé les victimes qui avaient survécu. À qui ces marques étaient-elles destinées? Qui signait ces messages atroces? Pour le découvrir, Maud Graham savait qu'elle devait pénétrer dans la pensée du violeur, le précéder, se noyer dans son âme.


Mon avis :
Roman policier pas si policier que ca car j'ai découvert assez rapidement les raisons qui motivaient le coupable. Toute fois l'écriture de l'auteur (que je connaissais via un autre roman - Cher voisin - que j'avais beaucoup aimé)se laisse lire, sans oublier les personnages qui m'ont fait continuer la lecture.
En parallèle de l'enquête de Graham, il y a cette histoire avace la famille de Marie- Eve : une mère "folle", des secrets de famille bien gardé, qui se retrouveront entre guillemets avec l'enquête...
Quelques passages un peu dure à lire par leur dureté.

Extrait :
Pour lire le premier chapitre cliquez
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mardi 13 octobre 2009

L'empreinte de l'ange, Nancy Huston

Présentation de l'éditeur :
Nous sommes à Paris, à la fin des années cinquante. Saffie, l'énigmatique et belle Allemande aux yeux vert d'eau, devient l'épouse du grand flûtiste Raphaël Lepage, profondément épris dès le premier regard. Mariée, puis mère, Saffie ne change pas : rien ne semble pouvoir illuminer son visage fermé et triste, éclairer des yeux qui en ont trop vu - qui ont tout vu. Rien, sauf l'amour fou qui l'embrase le jour où elle remontre le luthier de Raphaël, un juif hongrois nommé András. Ecartelé entre son histoire et sa passion inattendue pour cette Allemande, il tente d'apprendre - et de lui apprendre - à vivre avec leur passé. Cette bouleversante histoire d'amour et de musique, qui évoque la mémoire, les espérances et les crimes de notre temps, a été couronnée par le grand prix des Lectrices de Elle 1999.



Moi :
L'histoire se déroule à Paris et commence en 1957. La guerre a laissé ses traces dans certaines âmes. Comme la mère de Raphael qui ne veut avoir aucun contact avec des allemands. Raphael passe une annonce pour trouver une bonne à tout faire. Saffie se présente alors un jours sur le palier de sa porte. Elle pourrait paraitre alors sans vie, comme si elle était un coquillage vide. Pourtant elle se mariera avec lui et lui donnera un enfant.
Dès le début de cette lecture, j'ai pu comprendre que Saffie vivait dans son monde, qu'elle avait dut avoir un sorte de traumatisme. Elle en parlera plus avec András, un emmigré hongrois, qu'avec son mari. Peut-être parce que András la comprendrait mieux que Raphael...
Toute facon Saffie mene une double vie, elle est comme le jour et la nuit selon avec lequel des deux hommes elle se retrouve.
A la fin j'étais surprise comment cela se terminait. Il y avait un sujet auquel je m'y étais préparée mais pas pour l'autre.
Un roman à lire.

Extrait :
Pour lire un extrait cliquez ici !

dimanche 11 octobre 2009

Les prodigieuses aventures des soeurs hunt, Elisabeth Robinson

Présentation de l'éditeur :
La vie dorée d'Olivia Hunt bascule d'un seul coup. Productrice à Hollywood, habituée à tous les avantages des V.I.P., elle vient de se faire renvoyer sans ménagement après l'échec de son dernier film ; quant à son petit ami, Michael, il l'a quittée. Alors qu'elle s'apprête à rédiger une lettre de suicide bien sentie, Olivia apprend que Maddie, sa sœur bien-aimée, est gravement malade, et elle va se trouver confrontée aux choix les plus difficiles qu'elle ait jamais eu à faire. Imprégné de tout l'amour que deux sœurs peuvent ressentir l'une pour l'autre, Les Prodigieuses Aventures des sœurs Hunt est à la fois déchirant et comique, tragique et réjouissant.

Ce que j'en dis :
Le roman se présente sous forme de correspondance. Point auquel je ne m'y attendais pas , surtout que toute la corresponance vient seulement d'Olivia, productrice à Hollywood, vers des membres de sa famille, son amie Tina, son ex ou pour des raisons professionelles. Alors qu'elle pensait à écrire une lettre de suicide, elle recoit un appel qui lui fait l'effet d'une bombe. Cela concerne sa jeune soeur Maddie.
Durant ces lettres, e-mails, l'auteur de ce roman nous fera passer à travers plusieurs sentiments dut à divers faits, occasions . certaines seronts sarcastiques, d'autres feront sourire; il y a les joies puis les moments tragiques de la vie.
Surtout que par moment ce n'est pas facile pour Olivia, qui est en train de produire le film dont elle rêvait tant, de concilier sa situation familliale et sa situation professionnelle : comment ne pas se culpabiliser à des moments de la vie qui parait plus cruelle encore ?
Je me suis sentie assez proche d'Olivia pour avoir certains points en communs avec elle. Les situations familliale décrites dans l'histoire sont assez proche de la vraie vie selon la gravité. J'étais juste surprise par la tournure qu'à pris la fin du roman. Je ne m'y attendais pas du tout !

Roman que j'ai découvert par l'intermédiare de Blog-o-book et de leur partenariat. Je leur remercie beaucoup, aisni que l'édition Le livre de poche de me l'avoir envoyé.

vendredi 2 octobre 2009

Dans la main du diable, Anne Marie Garat

Présentation de l'éditeur :
Automne 1913. A Paris et ailleurs - de Budapest à la Birmanie en passant par Venise -, une jeune femme intrépide, Gabrielle Demachy, mène une périlleuse enquête d'amour, munie, pour tout indice, d'un sulfureux cahier hongrois recelant tous les poisons - des secrets de cœur au secret-défense. Habité par les passions, les complots, le crime, l'espionnage, et par toutes les aventures qu'en ce début du XXe siècle vivent simultanément la science, le cinéma ou l'industrie, Dans la main du diable est une ample et voluptueuse fresque qui inscrit les destinées sentimentales de ses personnages dans l'histoire d'une société dont la modernité est en train de bouleverser les repères. En 1913, Gabrielle Demachy s'avance, lumineuse et ardente, dans les rues de Paris, sur les chemins du Mesnil ; entre l'envol et la chute, entre eaux et sables, la voici qui s'engage dans le roman de sa vie...


Ce que j'en dis :
Malgrés le gros pavé ( près de 1300 pages version poche) faut pas avoir peur de s'y attaquer. Ce qui m'a donné envie de le lire ce fut les differents comentaires que j'ai lu disant qu'une fois commencé on ne peut le lacher. Et je le confirme. Car j'ai eu dut mal à m'en détacher. Moi qui n'aime pas lire dans les bus, je le lisais... Les personnages de ce romans sont interresant. Celui de Gabrielle attachant puisque d'un coté c'est elle qui mène la danse : elle cherche à savoir plus sur la mort de son fiancé Endre. Un homme la dirige vers la riche famille indistrielle Bertin-Galay, plus particulièrement vers le professeur Pierre Galay. Elle arrivera à avoir un poste en tant qu'institutrice de la petite Millie. Ayant de cet homme un portrait noir, elle se méfie de lui, et cherche à savoir comme elle le peut le plus de lui. L'auteur nous fait un portait alors des membres de la famille Bertin-Galay, et de leurs domestiques qu'ils soient à Paris ou au Mesnil. Sans oublier d'autres personnages extérieurs. Malgrès quelques clichés - certains aspects du romans sont assez faciles à deviner entre qui mene en bateau qui, par ex - le roman se laisse lire. Pour ma part, je voulais savoir surtout si Gabrielle arriverait à sa propre mission et comment elle réagirait vis à vis de la vérité concernant Endre. Roman remplis de complots, d'espionnage, d'amour, de secret juste une année avant que la guerre commence (une partie du roman se déroulera alors à ce moment où on rapelle brievement certains fait polémiques). J'ai beaucoup aimé les descriptions d'époques, avec les classes sociales, la révolte des ouvriers pour travailler 8h/jour... Cela m'a été un régal de lire ce roman et que le conseil à quiquonc n'á pas peur de lire un si gros livre :)
 
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