vendredi 31 juillet 2009

L'avant dernière chance, Caroline Vermalle

Présentation de l'éditeur :
A Londres, lors du tournage d'une fiction pour la télévision, Adèle, une jeune stagiaire française, reçoit un texto totalement inattendu et absolument irréel : son grand-père, mort quelques jours auparavant, lui souhaite un joyeux anniversaire... Adèle se remémore alors les événements de ce dernier mois. Son papy, Georges, quatre-vingt-trois ans, les pieds plantés dans son potager, enraciné dans sa bonne vieille terre du Poitou, a subitement décidé de partir pour un tour de France avec son voisin et ami Charles, soixante-seize ans. Sa petite-fille a découvert leur projet et, inquiète pour la santé de son aïeul, lui a fait promettre de lui envoyer des nouvelles tous les jours par texto. Commence alors une drôle de correspondance, tendre et complice, entre le grand-père et sa petite-fille, qui ne se sont pas vus depuis dix ans. Ce beau récit, touchant et juste, mêle à la gouaille des dialogues l'émotion de sentiments qui peinent à se révéler.

Ce que j'en pense :
Un roman qui a eu le prix jeune talent, dont j'avais lu beaucoup de critiques me donnant envie de le lire. Une lecture que j'ai beaucoup aimé avec une écriture toute simple mais surtout des personnages attachants.

Adel est à Londres pour un stage dans la télévion/ cinema, et pour certaines raisons, elle recontacte son grand-père Georges après 10-15 ans de silence. Faut savoir que Georges cache à fille et petite fille qu'il s'apprête à faire le tour de France...en voiture, bien sûr ! Mais voilà, Georges n'est plus d'une première jeunesse et pourtant durant ce tour il va se sentir revivre. Puis aussi renouer contacte avec Adel via le téléphone portable. Par les "essemessais" comme dirait Charles, le voisin.

En tout cas c'était une belle histoire entre deux générations qui s'étaient perdu contact mais s'est retrouvé grace, en quelque sorte, à la technologie des jeunes.

Extrait :
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mercredi 29 juillet 2009

L'hibiscus pourpre, Chimamanda Ngozi Adichie

Présentation de l'éditeur :
Kambili a quinze ans. Son monde est limité aux murs de la résidence luxueuse d'Enugu, au Nigeria, où elle vit avec ses parents et son frère Jaja. Son père, Eugène, est un riche notable qui régit son foyer selon des principes d'une rigueur implacable. Sa générosité et son courage politique (il possède le seul journal indépendant du pays) en font un véritable héros de sa communauté. Mais Eugène est aussi un fondamentaliste catholique, qui conçoit l'éducation de ses enfants comme une chasse au péché où les plus terribles punitions trouvent leur justification dans la foi. Quand un coup d'Etat vient secouer le Nigeria, Eugène, très impliqué dans la crise politique, est obligé d'envoyer Kambili et Jaja chez leur tante. Les deux adolescents y découvrent un foyer bruyant, plein de rires et de musique. Ils prennent goût à une vie simple, qu'ils croyaient dangereuse et païenne, et ouvrent les yeux sur la nature tyrannique de leur père. Lorsque Kambili et son frère reviennent sous le toit paternel, le conflit est inévitable et la maison se transforme en champ de bataille où les enfants vont se révolter pour gagner leur liberté. L'Hibiscus pourpre est un roman bouleversant sur la fin de l'innocence, la violence domestique, l'intolérance religieuse et l'émancipation.

Ce que j'en dis :
Roman riche en émotions. La narratrice, Kambili (15 ans) raconte le changement qui s'est opéré dans sa vie te celle de son frère, Jaja, après avoir passé une dizaine de jours chez leur tante et cousins.
Pour nous faire voirclairement la distinction entre la vie familliale avec son père - fervant catholique, je dirais même sa foi est une obsession, où tout tourne autour de la religion, la foi, le fait que les enfants ont un "planning" pour leurs heures d'études, de prières, de temps famille, etc. Et par la suite lors de la première fois lorsqu'elle se rendra, avec Jaja, chez leur tante - la soeur de leur père. Quele différence ! En à se sentir perdu, avoir l'impression d'être dans un monde où on sourit, rit, chante...Même que leur cousine fera remarquer alors à sa mère à leur propos "sont-ils normaux". Deux éducations completement differente.
Pour Kabili, son aptitude prendra plus de temps à changer que Jaja, durant la lecture j'ai pu ressentir sa crainte vis à vis de son père. Tandis que Jaja, lui, n'aura pas peur de se rebeller.
Arrivée au deux tiers du roman, ca devient plus sensible.

Un roman qui fait parti désormais de mes coup de coeur, et que je recommande.

dimanche 26 juillet 2009

Je suis un chat, Sôseki Natsume

L'histoire :
Un petit chat, qui n'a pas de nom, se retrouve dans le jardin du professeur Kushami dans la ville d'Edo (ancien nom de Tōkyō). Adopté par ce dernier, il devient le chat de la maison. Doté d'une grande fierté, le chat est souvent indigné de la façon dont on le traite et juge rapidement les humains comme des bêtes étranges et inconstantes. Il est par ailleurs étonnamment cultivé, il bénéficie d'une sorte d'omniscience encyclopédique.

Au fur et à mesure du roman, des personnages, tous plus caricaturaux les uns que les autres, défilent chez Kushami, et c'est là une belle occasion de dépeindre la société japonaise en pleine mutation pendant cette ère Meiji. Il y a là Meitei, l'étudiant fantasque et pédant, Kangetsu le doctorant original, et une foule d'autres visiteurs. Sans compter bien sûr la propre famille de Kushami avec sa femme, ses deux filles et O-San la bonne.

Sōseki développe ensuite une petite intrigue autour du mariage de Kangetsu avec la fille d'un riche marchand voisin. Il en profite pour critiquer le monde financier qui est en train de se créer à cette époque.

Lassé par ce feuilleton qui allait devenir le roman Je suis un chat, Sōseki y mit fin un peu brutalement, non sans y faire un dernier clin d'œil au grotesque de l'existence.


Mon avis :
Roman écrit au tout début du XXème siècle (1906) est un roman agrébale à lire...mais un peu longue par moment.
Du moins pour moi la lecture c'est faite un peu longue même si je l'ai apprécié. J'ai dut interrompre ma lecture de clui-ci par d'autres. En bref des petites pauses mais ca m'embetait de pas le lire en entier.
J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'écrivain. Le roman a beaucoup de passage que j'ai trouvé philosophique.
Le narrateur de cette longue histoire est tout simplement un chat sans nom. Celui-ci nous racontera sa vie paissiblede chat, ce qui se passe chez son maître Mr Sneaze (dans la version anglaise, le professeur se nomme ainsi) avec certaines personnes qui s'y arretent souvent pour voir le professeur. Le chat nous donne son avis sur certaines situations, ses pensées sur ces gens et ce qu'ils racontent. Juste surprise par la tournure de la fin !

L'auteur nous décrit la vie du Japon des années 1905. A savoir que au début c'était tout simplement une nouvelle d'une vingtaine de pages (juste le 1er chapitre). Suite à son succès, l'auteur en a poursuivie l'écriture.

Tag sur la lecture


Voici un tag que j'ai trouvé très sympa chez Mimi. Donc je m'y met.
"Questions sur la lecture"

1- Plutôt corne ou marque-page?
Marque page : j'en ai tellement que j'ai commencé il y a deux ans d'en faire la collection. J'ai horreur de voir des pages cornés...

2-
Écrire sur un livre?
Si par là la question est écrire son avis, critique oui. J'aime partager ceci avec d'autres personnes qui ont la passion des livres. Mais sinon, si "écrire sur un livre" veut dire le prendre comme appui : hors de question. D'ailleurs je rale apres mon chéri apres ca !

3-
As-tu déjà reçu un livre en cadeau?
Oui, surtout quand j'étais petite, puis plus particulièrement depuis que je suis sur la blogosphere.

4-
As-tu déjà pensé écrire un livre?
Oui, sur mes trois années de jeune fille-au-pair :D J'avais commencé via un blog, pour faire un essaie...

5. Que penses-tu des séries à plusieurs tomes?
Ca dépends : certaines séries peuvent être bien (Millénuim, Harry Potter, le poid des secrets, etc) et d'autres moins.

6-
As-tu un livre culte?
Hum, oui mais pas seulement un alors :/

7-
Des auteurs préférés?
Cecila Ahern, Jodi Picoult, Haruki Murakami, Eric-Emmanuel Schmitt, Irene Nemirovsky,et bien d'autre ;-)

8-
Aimes-tu relire?
Malgrès qu'il y ait beaucoup de livres que je souhaite lire, il m'arrive de relire certains que j'ai. Comme l'a écrit Daniel Pennac dans "Comme un roman" on relit pour découvrir des détails qui nous ont échappé lors d'une première lecture, par exemple. Je les relis surtout parce que souvent ca fait un moment que je les ai lu et je retrouve le plaisir de les lire meme si se sera la 3eme ou 4 eme fois et que je connais bien l'histoire.

9-
Rencontrer ou pas les auteurs des livres que l'on a aimés?
Jamais eu l'occasion donc je peux pas dire mais c'est une chose que j'aimerais lors d'un salon de livres.

10-
Aimes-tu parler de tes lectures?
Oui, j'adore ca :D D'où ce blog apres trois mois d'absence sur la blogosphere sans parler sans me manquait.

11-
Comment choisis-tu tes livres?
1- des références que j'ai trouvé sur des blogs de lectures, ou des blog de copine. Et aussi dans le magazine Lire.
2- J'adore trainer dans les lieux où il y a des livres (bibliotheques, librairies, bouquinistes) donc apres ca se fait soit au titre soit à la couverture qui attire mon regard.

12-
Une lecture inavouable?
Oui. Mais je dirais pas lequel... :p

13-
Des endroits préférés pour lire?
Je n'ai pas forcement d'endroit préféré. Ca dépends de mon humeur.

14-
Lire et manger?
Non. Mais il m'arrive d'oublier de me faire à manger tellement prise par ma lecture.

15-
Lecture en musique, en silence, peu importe?
Peu importe, s'il y a de la musique, le volume sera assez bas.

16-
Livres empruntés ou livres achetés?
Les deux. J'essaie d'en emprunter le plus que possible comme ca évite le probleme des étagères. Mais malheureusement en francais des fois ca se laisse désirer donc je les achete ou les echange (bookmooch, et des blog-o-popines m'en proposent parfois. Par ex: Mimi qui est au Canada me fait découvrir des auteurs de chez elle comme Chrystine Brouillet )

17-
Prêtes-tu tes livres
Oui, travaillant dans un endroit exclusivement francais, je sais que pour certains de mes collegues qui ne lisent pas anglais, c'est un plaisir. Mais faut que je fasse confiance a la personne pour que celle-ci me le ramene !

Voilà, le questionnaire est fini. Ceux qui souhaite reprendre ce tag lecture (une petite pensée à Véro et à Heureuse), je vous en laisse le plaisir :)

vendredi 24 juillet 2009

L'accro du shopping dit oui, Sophie Kinsella

Présentation de l'éditeur :
Sa devise ? Je dépense donc je suis. Sa vision du devoir conjugal ? Choisir LA bague indémodable. C’est insensé et pourtant Becky Bloomwood va se marier ! Et inutile de dire que les préparatifs s’annoncent… catastrophiques : très vite, se pose la délicate question du lieu où célébrer l’union. Dans le jardinet ridiculement british de papa, avec tente bariolée et robe de mariée qui vous fait la silhouette « d’une saucisse dans un chausson de pâte feuilletée » ? Ou au mythique hôtel Plaza, sous l’égide de la belle-mère, authentique Cruella au total look fashion ?
Écartelée entre goût du luxe et respect des traditions, Becky la flambeuse va cette fois-ci devoir choisir. Pour le meilleur et pour le rire…


Ce que j'en dis :
Apres avoir lu les deux premiers volumes de "l'accro di shopping" j'avais hésité à continuer à les lire de peur de tomber dans le même scénario. Finalement à ma grande surprise non. Certes Becky reste toujours une accro, mais là elle doit prépaper son mariage. Mariage préparer tout d'abord par ses parents en Angleterre, puis sans le savoir - la grosse surprise - sa belle-mère leur offre le mariage dans un hotel de reve avec une organisatrice. Pas facile de choisir...et c'est là que ses problemes commenceront. De plus imaginez Becky choisir sa robe de marié. Car cela aussi posera un probleme : comment fera-t- elel pour en choisir une seule !! Puis il y aura Luke qui se remettra en question vis à vis de sa mère. Un roman qui m'a été fort sympatique.
Je remercie à Véronique (du moins sa fille) de me l'avoir prêté ainsi que la suite :)

mardi 21 juillet 2009

La triste fin du petit enfant huitre et autres histoires, Tim Burton

Quatrième couverture :
Fidèle à son univers d'une inventivité si particulière, mêlant cruauté et tendresse, macabre et poésie, Tim Burton donne le jour à une étonnante famille d'enfants solitaires, étranges et différents, exclus de tous et proches de nous, qui ne tarderont pas à nous horrifier et à nous attendrir, à nous émouvoir et à nous faire rire.

Un livre pour les adultes et pour l'enfant qui est en nous.

Mes mots à moi :
Court message pour dire que je ne savais pas que Tim Burton avait écrit ces petites nouvelles, poésies tournant autour de son univers affreux, horrible, doté pour certaines d'humour bien noir. La plupart concernent des enfants difformes. Il a fait lui même les illustrations du livres.
Un petit livre recommandé à tout les fan de Tim Burton.

(titre original : the melancholy death of oyster boy and other stories)


dimanche 19 juillet 2009

Out, Natsuo Kirino

Présentation de l'éditeur :
Toutes les nuits, quatre femmes - Masako, Yoshié, Kuniko et Yayoi - remplissent des paniers-repas dans une usine de Tôkyô. Différentes, elles le sont, mais elles ont un point commun : qu'ils boivent, les trompent, les battent ou les abandonnent, leurs maris les traitent comme des objets sans intérêt maintenant qu'elles ont vieilli. Toutes vivent le malheur d'être femmes dans un pays qui leur reconnaît peu de droits. Un jour, ce qui devait arriver arrive : l'une d'entre elles, Yayoi, finit par étrangler son mari, Kenji. Pendant ce temps, l'ex-nervi Mitsuyoshi Sataké refuse l'amour d'une de ses entraîneuses. Et se trouve pris dans la spirale d'horreurs qui suit le meurtre de Kenji. Ainsi est lancée la dynamique terrifiante qui verra ces cinq personnages s'affronter dans une lutte à mort pour la liberté, l'amour, le pouvoir et l'argent.

Mon mot à moi :
Deuxième roman policier japonais que je lis, et là encore une fois de plus, comme le premier, nous savons dès le début - voir aussi grace à la quatrième couverture - qui est le meurtrier et ses complices. L'auteur prend le temps de décrire la vie que mène ces quatres femmes en dehors de leurs vies à l'usine où elles travaillent ensemble de nuit.
Natsuo Kirino décrit avec soins le pouvoir des hommes sur les femmes (aussi bien financierement - difference de paye, de statut apres un certaine nombre d'années au même endroit - mais aussi bien sur le plan psychologique. Sans oublier jusqu'óù certaines personnes iraient pour avoir la sensation de pouvoir, de liberté.

J'ai bien aimé ce roman car malgres tout on peut se poser la question : est ce qu'elles s'en sortiront indemne de ce traquenard ? J'ai bien aimé les quatres pesonnages principaux (femmes) toutes différentes les unes des autres et pourtant le même objectif. Juste la fin qui m'a vraiment décu !! Honnetement j'ai du relire les cinq. dix, dernieres pages pour être sûres que mes yeux n'aient pas échappé à quelques choses.


Je pense que ca interresserait Mimi pour le point de vu psychologique. Sinon, je vous recommande peut etre de plutot l'emprunter.

vendredi 17 juillet 2009

A Mélie, sans mélo, Barbara Constantine

Présentation de l'éditeur :
Mélie, soixante-douze ans, vit seule à la campagne. Sa petite-fille, Clara, vient pour la première fois passer toutes les vacances d'été chez elle. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu'elle a un problème de santé... Elle verra ça plus tard. La priorité, c'est sa Clarinette chérie ! Mélie, le mélo, c'est pas son truc. Elle va passer l'été (le dernier ?), à fabriquer des souvenirs à Clara. Des rigolos. Comme regarder pousser les bambous en écoutant la Traviata, chanter sous la pluie des chansons de Nougaro, goûter les mauvaises herbes qui poussent le long des chemins. Il y a aussi... le vieux Marcel qui va apprendre à Clara à faire de la mécanique, Fanette, sa mère, qui va lui trouver un beau-père ; Bello, son parrain, qui va agrandir sa bande de filleuls musiciens. Et puis, comme la vie est vraiment dingue des fois, il y a Mélie quoi va enfin rencontrer le grand amour... Cent cinquante ans à eux deux ? Mais quand on aime, on ne compte pas !



Mon avis :
Je ne peux pas dire qu'on retrouve la même ambiance loufoque de "Allumer le chat", pourtant c'est toujours la même écriture.

Cette fois-ci, l'auteure nous raconte une belle histoire, qui sent l'été (du moins les les grandes vacances, la campagne, et tout ce que ferait éventuellement des petits enfants s'ils passaient l'été chez leur grand-mères).
Car Mélie, 72 ans, va acceuillir sa petite fille Clara, 10 ans, pour tout l'été. C'est la première fois et peut- être le dernier. Clara qui avait peur de s'ennuyer, finalement adore ces journées bien remplies. Mélie fait en sorte de lui offrir tout plein de souvenirs...Puis de toute facon, il y a d'autres personnages qui leur font remplir leur journée. Une fois de plus, j'ai aimé l'écriture de Barbara Constantine. Elle m'a ramené à mes souvenirs d'été chez ma mamie ( à ce temps là, la console vidéo et ordi n'avaient pas leur existence), et surtout de la chance d'en avoir une comme elle ;)

mardi 14 juillet 2009

Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, Mary Ann Shaffer

Présentation de l'éditeur :
Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, un natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis - un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d'un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d'une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates...) délices bien évidemment strictement prohibés par l'occupant. Jamais à court d'imagination, le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates déborde de charme, de drôlerie, de tendresse, d'humanité Juliet est conquise. Peu à peu, elle élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle et même d'autres habitants de Guernesey , découvrant l'histoire de l'île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l'impact de l'Occupation allemande sur leurs vies... Jusqu'au jour où elle comprend qu'elle tient avec le Cercle le sujet de son prochain roman. Alors elle répond à l'invitation chaleureuse de ses nouveaux amis et se rend à Guernesey. Ce qu'elle va trouver là-bas changera sa vie à jamais.

Ce que j'en dis :
Roman composé d'une correspondance surtout avec le peronnage de Juliet Ashton, ecrivain qui cherche le sujet de son prochain livre. D'une certaine maniere, elle entreen contact avec Dawsey qui lui parle de l'île de Guernsey - où il habite - et du cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates.
Le sujet des lettres, bien sure amicale, ont pour sujet l'Occupation sur les "islands Channels". L'auteur Mary Ann Shaffer s'est documenté, cherché en savoir plus...
Je me suis demandé au début de ma lecture où elle me menerait à travers ces lettres...j'avais peur d'être decue mais finalement ca a été. Ce n'est pas un coup de coeur non plus mais c'est un roman que j'ai trouvé interressant pour la documentation de l'auteur. Parmis cette correspondance, ca permis d'imaginer les caracteres, personnalités des personnages.
Toutefois si vous souhaitez le lire je vous recommande de l'emprunter ou bien de l'acheter d'occasion. Moi même, je l'ai lu en anglais car il coutait moins cher et que la liste d'attente à la bibliotheque était longue et j'étais contente d'avoir eu une reduction dessus.

Ma P.A.L (Pile A Lire)

De retour de vacances depuis trois jours, je me suis forcement ramené des livres de France :D

Le probleme est que j'ai une grosse P.A.L, que des fois j'ai du mal à choisir mes lectures. Du coup j'ai décidé de choisir six titres au maximum dans les deux langues que je lirais prochainement (francais et anglais - peut etre un jour finnois, ce jour là les poules auront des dents !)

En attendant voici ma Pile A lire complète, que je mettrais à jour au fur et à mesure mais j'espere pouvoir me retenir de tout achat avant octobre T-T, et que vous pourrez retrouver en haut dans ma barre de page d'acceuil (home) en lien.

Edit/ Mise à jour : le 24 avril2011 

Si ma PAL vous parait bien maigre, c'est tout simplement que j'ai pris en début d'année comme résolution d'acheter que deux livres maximum par mois ! Je favorise les emprunts à la bibliothèque et au tour de moi :p  Une facon qui me permet de meiux gerer ma PAL en même temps que mon porte monnaie.
Ma PAL est souent mis à jour sur mon profil de babelio : ici.

Livres en francais :

- "Ulysse" James Joyce
- Au temps où la jaconde parlait, Jean Diwo
-L'enfant des ténèbres, Anne Marie Garat

- La mère, Pearl Buck



En anglais :


 
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