dimanche 31 janvier 2010

Coeur d'encre, Cornelia Funke

Présentation de l'éditeur :
Meggie, douze ans, vit seule avec son père, Mo. Comme lui, elle a une passion pour les livres. Mais pourquoi Mo ne lit-il plus d'histoires à voix haute ? Ses livres auraient-ils un secret ? Leurs mots auraient-ils un pouvoir ? Un soir, un étrange personnage frappe à leur porte. Alors commence pour Meggie et Mo une extraordinaire aventure, encore plus folle que celles que racontent les livres. Et leur vie va changer pour toujours... Le premier tome d'une magnifique trilogie fantastique, par un célèbre auteur contemporain. Lire n'a jamais été aussi fascinant - et aussi dangereux.


Mon avis :
Lecture que j'ai lu pour un club de lecture, et qui m'a déçu. Cela faisait un moment que je l'avais dans ma liste à lire...
Cela aurait pu être une lecture plaisante pour moi, une aventure parmi les livres.

Meggie a 12 ans et vit avec son père Mo - relieur de livres. Leur maison est remplis de livres bien entendu. La mère de Meggie a disparu neuf ans auparavant.
Un soir d'hiver, un homme vient frapper tard dans la nuit. Meggie curieuse descend discrètement voir qui est ce bonhomme bizarre. Son père lui fait comprendre qu'il a besoin d'être seul avec cette personne. Ce qui intrigue plus la jeune héroine...
Puis au cours de l'histoire, quelques petites pages après. elle apprendra que le visiteur se nomme Dustfinger (lu en anglais donc je ne connais pas le nom en français). Dustfinger cite des prénoms bizarres, peu ordinaire...Que cache le père à sa fille ? Qui est Dustfinger ?


L'histoire est surtout une aventure autour d'un livre nommé Cœur d'encre et autour de ses personnages.
Malheureusement j'ai eu dut mal à y accrocher à cette histoire, peut-être que je l'ai lu au mauvais moment et je ne pense pas lire les deux autres volumes.

Extrait :
"Dans les livres, on lit souvent que la peur procure une sensation de chaleur mais, à la fête de Capricorne, Meggie apprit que la peur est froide, c'est une main gelée qui vous fige le coeur et s'enfonce dans les côtes comme un poing serré. La haine la glaçait, malgré la tiédeur de l'air qui l'enveloppait comme pour lui faire croire que le monde, en dépit du tissu ensanglanté sur lequel Capricorne avait posé en souriant sa main couverte de bagues, était encore intact."

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