mercredi 4 août 2010

Cold comfort farm, Stella Gibbons

Présentation de l'éditeur :
Lorsque sensible, complexe Flora Poste est orphelin à dix-neuf, elle décide de son seul choix est de descendre sur la famille au plus profond de Sussex.
A la bien nommée Cold Comfort Farm, elle répond aux Starkadders condamné: cousine Judith, en poussant avec le remords de la méchanceté tacite; Amos, la prédication d'incendie et de la damnation; leurs fils, Seth lubriques et désespéré Ruben, enfant de la nature Elfine et folle vieille tante Ada Doom, qui a gardé dans sa chambre pendant les vingt dernières années. Mais Flora aime rien de mieux que d'organiser d'autres personnes. Armés de bon sens et une forte volonté, elle décide de prendre chacun de la famille dans la main. Une parodie hilarante et impitoyable des mélodrames rural, Cold Comfort Farm (1932) est l'un des meilleurs romans comiques-aimé de tous les temps.


Moi :
Un classique de la littérature anglaise.

L'histoire est celle de Flora, 19 ans, dont les parents viennent de décéder et dont elle aura une pension / rente de 100 pounds. Elle passe quelques jours chez une très bonne amie à elle qui collectionne les corsaires. Flora lui fait part de ce qu'elle envisage de faire dans le futur. Mais pour l'immédiat, elle pensait contacter le peu de famille qu'elle a pour leur demander hébergement sachant qu'elle a une pauvre pension.
Ainsi, elle envoie quatre lettres, chose osé sans doute à cette époque (année 20) et pour une personne de son éducation. Son amie ne le lui cache pas et voit ca d'un mauvais oeil.
Flora attend au moins une réponse sur les quatre lettres envoyés. Elle reçoit des réponses, et dont une ouvre plus sa curiosité aussi bien par son contenu aussi bien par le nom de la ferme : Cold Comfort Farm !
Lorsqu'elle arrive à la ferme, il y a une atmosphère typique des fermes. Les gens fermés, froids face à une citoyenne, encore plus une étrangère à leur yeux.
On y trouve toute sorte de personnage : Amos qui prêche, Seth le beau gars passionné par le cinéma, Ada la vieille bique, etc.
Flora fera en sorte de satisfaire chacun d'eux en réalisant leurs souhaits. Cela lui prendra le temps d'apprendre à les connaitre, à cerner le caractère.

L'auteur y mêle l'humour pour nous raconter cette hsitoire qui m'a fait beaucoup sourire.
Beaucoup de répétitions au niveau vocabulaire pour certains personnages comme Ada : " I saw something naughty in the woodsheed", Amos : " there'll no butter in hell" ou encore souvent "Robert Post's child".

Juste dommage que cela ne soit pas traduit en français car honnêtement, j'ai passé un très bon avec cette lecture.

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