lundi 19 septembre 2011

La grand.mère de Jade, Frédérique Deghelt

Présentation de l éditeur :
Quand Jade, une jeune femme moderne, " enlève " sa grand-mère pour lui éviter la maison de retraite et fait habiter à Paris celle qui n'a jamais quitté la campagne, beaucoup de choses en sont bouleversées. A commencer par l'image que Jade avait de sa Mamoune, si bonne, si discrète... Une histoire d'amour entre deux femmes, deux générations, au dénouement troublant...



Ce que j en dis :
   L'histoire enivrante d'une jeune femme, une trentaine d'années, Jade, qui décide de s'occuper de sa grand-mère Jeanne, octogénaire, pour lui éviter la maison de retraite.
Entre ces deux générations, un lien fort, tel que la complicité est là. Mais surtout Jade apprend à connaitre une autre facette de sa grand-mère. Jeanne lui rélève un secret qu'elle n a jamais raconté à quiquonc de la famille. Jeanne fait rappeler à sa petite fille les conditions d une femme comme elle, née dans les années 20, fille de paysan dans les Alpes...les loisirs tel que la lecture n avait place.
   Les deux femmes apprennent à vivre, cotoyer l'univers de l'autre. Au moins Jeanne apprend à vivre avec cette nouvelle génération à Paris.
Quand à Jade, elle est toujours aux aguets pour sa grand-mère. Une oreille attentive aux souvenirs de cette femme courageuse qui lui fait rappeler ce que les femmes d'alors ont connu. Travaillant sur un roman, elle le fera lire à la vieille femme qui lui donnera son avis et l'aidera.

Un roman qui m a profondément plus par cette attachement entre ces deux générations, mais surtout le personnage de Jeanne qui m a beaucoup plus avec son amour pour les livres qu'elle a dut garder cacher.
 Le roman est partagé en deux voix : par une narration lorsqu'il s agit de Jade et de sa vie, et la voix de Mamoune (Jeanne) qui raconte son point de vue. Les chapitres sont courts.

Je dois dire que le prologue m'a surprise, et du le lire deux fois la première page pour être sur d'en avoir bien saisi le sens. Je dois dire que je m attendais d'un côté que cela se termine ainsi mais une autre partie de ce prologue m'a complètement surprise, débouselé. Me suis sentie désolée pour les deux femmes.

Un roman que je recommande.

dimanche 18 septembre 2011

Sisters Red, Jackson Pearce

Présentation de l'éditeur :
L'histoire de Scarlett et Rosie Mars, deux soeurs hautement qualifiés à  la chasse Fenris (loups-garous) - dont les proies sont qadolescantes - puisque Scarlett a perdu son œil ans, tout en défendant Rosie dans une attaque. Scarlett ne vit que pour détruire les Fenris, elle et Rosie les attire avec des manteaux rouges (une couleur que les loups ne peut pas résister), mais Rosie chass plus par dette à sa sœur et lui faire plaisir. Mais les choses semblent changer. Les loups se renforcent et deviennet plus difficiles à battre, et il y a de plus en plus d'articles à propos de jeunes filles-  surtout des adolescente - qui sont brutalement assassiné dans la ville. Scarlett et Rosie bientôt découvrent la vérité: les loups se regroupent à la recherche d'un potentiel de Fenris - un homme contaminé par le peloton, mais pas encore totalement changé. Prêts à tout pour trouver le Potentiel et l''utiliser comme appât pour un loup-garou d'extermination massive, les sœurs se déplacent à la ville avec Silas, un jeune bûcheron et ami de la famille de longue date qui est mortel avec une hache. En attendant, Rosie se retrouve atirer parSilas, et le lien qu'ils partagent ne maine pas eulement les oeurs à part, mais pourrait détruire tout ce qu'ils ont travaillé pour.

Moi :
Honnêtement j'avais lu pas mal de bonnes critiques et la couverture du roman m'était fort sympatique avec son illusion optique.  Pourtant je dirais que c'ést vraiment une lecture pour ado, jeune adulte. 
On retrouve l'idée du petit chaperon rouge. Grand-mère est là mais pas malade, le bucheron aussi est là. 
Mais l'histoire se partage entre les deux voix des soeurs Mars : Scarlett qui ne vit que pour éliminer les Fenris, cherchant à repérer leurs clans par le tatouage qu'ils ont à leurs poignets. Scarlett qui portera des traces à vie intérieurement et physiquement d'un fenris. Sa soeur Rosie, est tout le contraire. Elle vit dans l'ombre de la grande soeur, elle a une dette envers son ainé. Et pourtant elle aspire à la liberté, à avoir des loisirs...
Avec elles, il y Silas, le fils du bucheron, excersant le même métier que le paternel en même tant qu'éliminateur de Fenris. Silas qui était parti pour un bout de temps voir un oncle. En faisant réapparition dans leur petite ville, les Fenris sont plus que de retour. Ainsi que plus de loup-garous avec une histoire concernant le Potentiel.

Le livre se lit assez facilement mais les personnages ne m'ont pas été aussi attachants et au fur et à mesure qu'on progresse dans l'histoire, j'ai deviné assez rapidement qui était le Potentiel Pour moi c'est une nouvelle version du conte du chaperon rouge mais en version plus moderne...Je pense que ca plaira plus à un public qui est vraiment centré tel que ado/ jeune adulte.

dimanche 11 septembre 2011

Toubib or not toubib, Agnès Abécassis

Présentation de l'éditeur :
Elle court, elle court, la maladie d'humour... La preuve dans ce cabinet médical pas comme les autres. Après avoir été accueilli par une réceptionniste douce comme un pit-bull, vous aurez le choix entre une dentiste si gaffeuse que vous préférerez garder vos caries, un gynécologue odieusement misogyne, un bel acupuncteur dont les patientes sont piquées, ou Yohanna, la gentille généraliste qui va elle-même s'allonger chez le psy entre deux examens, Un homme bien étrange d'ailleurs, ce psy. Il lui fait revivre, sous hypnose, toutes ses premières fois, pour comprendre d'où vient son problème de manque de confiance en elle. Mais la situation dérape le jour où elle commence à développer de surprenantes aptitudes... Finalement, le plus malade n'est peut-être pas celui qu'on croit ! 

Rapidement :
Je suis allée l'emprunter à la bibliothèque après avoir lu l'avais de Heureuse. Ce qui tombait bien car je me cherchais une lecture sans prise de tête, et je suis du même avis que Heureuse c'est un bon roman dans le genre chick-lit. Pourtant la présentation du cabinet médical m'a fait rappeler une série américaine que j'ai récemment découverte...
Heureuse ayant laissé savoir qu'elle avait été surprise à la fin, je cherchais durant ma lecture comment cela se pourrait se terminer. N'ayant jamais lu l'auteur, je ne peux comparer à ces précédents romans. Ceci-dit j'étais contente d'avoir mis le doigt sur un point et j'étais vraiment surprise par la fin car je n'aurais jamais pensé à ça.
Certes ce n'est pas de la grande littérature mais j'ai passé un bon moment en compagnie de ce roman :)

dimanche 4 septembre 2011

Blood magic, Tessa Gratton

Présentation :
L'assassina de ses parents a laissé Silla endommagés,perdus, et l'insistance de Silla que son père n'est pas à blâmer l'éloigne seulement  seulement encore plus de ses amis et sa famille. Quand un mystérieux livre des sorts  arrive, Silla espère qu'il apportera des réponses au sujet du tueur de ses parents. Dans sa première tentative de magie, dans un vieux cimetière près de chez elle, Nick, le petit nouveau de la ville l'espionne malgré lui, il reconnaît la magie que Silla est en train de réaliser : la même magie que sa mère pratiquait avec lui, avant qu'elle devint folle.

Cela prend un certain temps avant que  Silla et Nick se rapproche, mais Nick n'est pas disposé à partager son secret et son passé avec "la magie du sang" avec Silla. Quand les amis de Silla commencent à montrer des signes de possession, Silla, Nick et le frère de Silla, Reese, doivent faire face à une terrifiante immortelle qui ne reculera devant rien pour prendre le livre des sorts de leur part.

Moi : 
Roman pour ado -jeune adulte qui m'a été fort sympathique et malgré une petite crainte  d'apparition de vampires (dut au titre) ce ne fut guère le cas. Je n'ai rien contre les vampires mais le phénomène Twillight à fait que la plupart des romans en sont envahit !
 Un roman que j'ai eu du mal à lâcher et qui m'a agréablement surprise malgré un ou deux clichés. 

En gros, l'essentiel de l'histoire se passe autour d'un cimetière d'une petite commune où tout le monde se connaît. Silla, ado de 16-17 ans, qui adore le théâtre, a dut mal à faire le deuil de ses parents. Puis surtout, elle se sent incompréhensible aux yeux de ses proches et famille car pour elle, ils accusent la mauvaise personne d'avoir tué sa mère, et de dire que son père était fou est inacceptable pour elle. Elle se replis sur elle-même. 
Elle reçoit un livre bien particulier d'une personne inconnu, le livre ayant l'écriture de son père. Silla s'apercevra bien vite qu'il s'agit d'un livre de sorts. Chacun d'entre eux demandant au moins une goutte de sang (d'où le titre). Elle y essayera et par la suite tout un flot de questions lui viendront sans pouvoir avoir des réponses.

Nick racontrera Silla pour la première fois dans le cimetière. Ce qui va se passer entre les deux est assez évident à deviner même si cela prend un petit bout de temps. 
Tout les deux ont quelques points en communs qu'ils se découvriront plus tard.

Pour Nick, nouveau dans cette petite ville où tout le monde se connaît, ne connaîtra rien du drame familial de Silla. Il en entendra des rumeurs, mais attend d'écouter la version de la jeune fille. 
Il remarquera des souvenirs d'enfance du temps où il vivait encore avec sa mère refont surface et se pose des questions : est-ce que sa mère est vraiment folle ? Ou y-a-t-il une autre raison pour certains de ses gestes ? 

Le roman se partage entre les deux voix de ces deux adolescents. Petit plus, qui m'a bien plus, de quoi assoiffer un peu plus ma curiosité, entre deux chapitres, il y avait un extrait d'un journal intime. Celui d'une jeune fille qui apprenait la magie...
Je n'en dirais pas plus . Bien que je trouve que la présentation en dit un peu trop. 

Bref, un roman bien rythmé, avec quelques sujets intéressants, des petits secrets de familles concernant tout aussi bien Silla que Nick, et surtout beaucoup de sang versé...qui font que je ne me suis pas ennuyée :)

Le goût des pépins de pommes, Katharina Hagena

Présentation de l'éditeur :
À la mort de Bertha, ses trois filles et sa petite-fille, Iris, la narratrice, se retrouvent dans leur maison de famille, à Bootshaven, dans le nord de l'Allemagne, pour la lecture du testament. À sa grande surprise, Iris hérite de la maison. Bibliothécaire à Fribourg, elle n'envisage pas, dans un premier temps, de la conserver. Mais, à mesure qu'elle redécouvre chaque pièce, chaque parcelle du merveilleux jardin, ses souvenirs font resurgir l'histoire émouvante et tragique de trois générations de femmes. Un grand roman sur le souvenir et l'oubli.

Moi :
Je dois dire que j'ai acheté ce roman car il me narguait dans un certains sens. Par sa couverture qui sort de ce que mes yeux sont habitués à voir. Que dans toutes les librairies où je suis allée, il était mis en avant.
Puis je me suis décidée...mais la pomme n'avait aucun goût pour moi. Cette lecture m'a laissé indifférente. C'était long, triste. J'avais l'impression de faire du sur-place, de pas avancer.
Comme le décrit la présentation de l'éditeur, Iris, la narratrice, est une jeune femme qui va hérité d'une propriét, à sa grande surprise car ses tantes et sa mère sont encore là.
Elle y reste le temps de régler quelques affaires. Beaucoup de souvenirs (que se soit visuel, olfactif) lui revienne en tête. En se les revivants, elle nous décrit chaque instant. Beaucoup, bien sur, ont lien avec sa défunte grand-mère, mais aussi avec ses deux meilleures amies d'alors : sa cousine et une ado du voisinage. A travers ses souvenirs, nous apprenons un peu plus sur sa famille, sur un drame...
Entre temps, retour à la réalité, elle en apprendra plus sur sa grand-mère, des secrets enterrés.

Et pourtant, je peux vous dire que pour finir cette lecture, je l'ai en quelque sorte baclé tellement j'avais l'impression de perdre mon temps :'(
Après, je pense que c'est une histoire d'être entré dans le livre ou non. Donc, je ne donnerais aucun conseil par rapport à ce livre.

samedi 3 septembre 2011

Un hiver avec Baudelaire, Harold Cobert

Présentation de l'éditeur :
Sa femme l'a mis dehors, son CDD n'est pas prolongé. Philippe est happé dans une spirale infernale et passe de l'autre côté de la barrière sociale : SDF, confronté à la dure loi de la rue, faite de solitude, de honte et de violence. Jusqu'au jour où il rencontre Baudelaire. Grâce à cet inénarrable compagnon d'infortune, et avec l'aide d'un vendeur de kebab, d'une riche veuve et d'une dame pipi, il réussit à remonter la pente. Et à retourner à une vie normale. Plongée sans fard dans le quotidien des plus démunis, Un hiver avec Baudelaire, en mêlant romanesque et réalité sociale, poésie et âpreté, nous rappelle à quel point est précaire l’équilibre qui régit nos vies.

Mon petit mot dessus :
Un roman que j'ai beaucoup aimé pour son sujet réaliste, des personnes que nous croissons tous les jours sans "vraiment" porter notre entention sur eux.
L'auteur a eu l'idée d'écrire suite à reportage vu à la télé concernant les SDF ayant un chien. Ces gens là ne peuvent amener leus animaux de compagnie avec eux dans les centres...Par contre il y a une péniche, le Fleuron, à Paris, où les gens aont accepté avec leur fidel compagnon.
Il intègre son idée avec l'histoire de Philippe : divorcé, tension avec son ex, il n'arrive pas à se concentrer au travail et perd son boulot. La vérité est dur à admettre, mais il fait de son mieux pour garder la tête sur les épaules, pour ne pas sombrer dans la folie, ou trouver le réconfort dans l'alcool comme la plupart. Il pense à sa fille, et c'est ca qui va l'aider à avoir les idée claires.
Il fera une racontre avec un chien. Mais il ne lui prêtera guère attention jusqu'à une certaine nuit, depuis ils sont inséparable. Il apprendra que ce dernier s'apelle Baudelaire, hommage au poète. Baudelaire l'aidera à retouver le sourire, à retrouver confiance. Grâce à certaines racontres, à la gentillesse de certaines personnes, et sans oublier Baudelaire - le chien, Philippe sera guidé, et redoublera ses efforts sachant qu'au bout il y aura sa fille. 
L'auteur par son écriture y mêle la tendresse, poésie, et tristesse. Ce n'est pas un roman dans le genre documentaire qui cherche à nous culpabiliser. Mais plutot à nous sensibiliser ce que peut vivre une personne qui se retrouve sans un cents, sans un toit. La peur. La faim. Le froid. Ne pas connaitre ses droits en tant que chômeur. Ne pas connaitre ses droit en tant que divorcé.
Sans oublier un joli clin d'oeil pour Le Fleuron qui aide beaucoup ce genre de personnes ayant un animal de compagnie. 
Un roman une fois terminé, qu'on a du mal à oublier, et qui nous fera - sûrement - regardé autrement ces personnes assises à faire l'aumone.
Pour moi, c'est un roman à lire.

Je veux juste rajouter un point - rien à voir avec le livre, mais avec son sujet. A savoir que dans les pays anglo-saxons, les chômeurs, (SDF? m'en souviens pas) ont la possibilité de vendre toute les deux semaines un magazine pour un petit prix dont la moitié de la somme est pour le vendeur. Quand je vivais en Australie, et Angleterre, j'avais mon habitué. Si je ne les croissais pas, je me dirigeais dans un autre quartier et aidais une autre personne.

L'armée furieuse, Fred Vargas

Présentation de l'éditeur:
 Cette nuit-là, dit-elle lentement, Lina a vu passer l'Armée furieuse. Et Herbier y était. Et il criait. Et trois autres aussi. C'est une association ? L'Armée furieuse, répéta-t-elle tout bas. La Grande Chasse. Vous ne connaissez pas ? Non, dit Adamsberg en soutenant son regard stupéfait. Mais vous ne connaissez même pas son nom ? La Mesnie Hellequin ? chuchota-t-elle. Je suis désolé, dit Adamsberg. Veyrenc, l'Armée furieuse, vous connaissez cette bande ? Un air de surprise intense passa sur le visage du lieutenant Veyrenc. Votre fille l'a vraiment vue ? Avec le disparu ? Où cela ? Là où elle passe chez nous. Sur le chemin de Bonneval. Elle a toujours passé là. Veyrenc retint discrètement le commissaire. Jean-Baptiste, vraiment, tu n'as jamais entendu parler de ça ? Adamsberg secoua la tête. Eh bien, questionne Danglard, insista-t-il. Pourquoi ? Parce que, pour ce que j'en sais, c'est l'annonce d'une secousse. Peut-être d'une sacrée secousse. Nul doute que la fratrie "maudite" du village normand rejoindra la galaxie des personnages mémorables de Fred Vargas. Quant à Momo-mèche-courte, il est le fil conducteur de la double enquête que mène ici le commissaire Adamsberg, confronté à l'immémorial Seigneur Hellequin, chef de L'Armée furieuse.

Rapidement :
Roamn que j'ai dévoré. Je l'ai beaucoup plus apprécié que son prédécesseur.
Fred Vargas nous mênent dans une double enquête dont une risque de coûter le poste de Adamsberg. Quand à l'autre l'enquête Adamsberg s'y retrouve mélé tout d'abord par curiosité et  pour aider un collègue. C'est cette enquête-ci qui m'a le plus plus car l'auteur profite d'une vieille légende ( la chasse fantastique ) pour mettre en scène les crimes que Adamsberg aura ouï tout d'abord avant d'aller faire un saut en Normandie pour se changer les idées avant tout...
L'histoire inclus une famille mal-vu dans un petit village normand, dont l'un des membres a eu les visions de la grande chasse et de ses victimes. Tout le monde se connaissant et accuse à tort et à travers certains - malgré le doit pointé souvant vers la même direction. Et pourtant j'ai douté sur certains éventuels suspects mais mes neurones ont compris bien assez tard qui l'était vraiment.
Honnêtement, c'est un bon Fred Vargas ( pour moi) qui mêle une legénde (j'adore tout ce qui est attrait aux légendes, mythes) dans une belle région qu'est la Normandie avec "ses gens qui ne parlent pas beaucoup." Tout en mêlant travail d'équipe, le retour d'un des membres de l'équipe qui ne plaira pas à Danglard, la vie familliale de Adamsberg avec son fils retrouvé et qui le mêle aux enquêtes...j'étais loin de m'ennuyé durant cette lecture.


 
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