mardi 15 décembre 2009

Le vampire de Ropraz, Jacques Chessex

Présentation de l'éditeur :
En 1903 à Ropraz, dans le Haut-Jorat vaudois, la fille du juge de paix meurt à vingt ans d'une méningite. Un matin, on trouve le couvercle du cercueil soulevé, le corps de la virginale Rosa profané, les membres en partie dévorés. Horreur. Stupéfaction des villages alentour, retour des superstitions, hantise du vampirisme, chacun épiant l'autre au cœur de l'hiver. Puis, à Carrouge et à Ferlens, deux autres profanations sont commises. Il faut désormais un coupable. Ce sera le nommé Favez, un garçon de ferme aux yeux rougis, qu'on a surpris à l'étable. Condamné, emprisonné, soumis à la psychiatrie, on perd sa trace en 1915. A partir d'un fait réel, Jacques Chessex donne le roman de la fascination- meurtrière. Qui mieux que lui sait dire la " crasse primitive ", la solitude, les fantasmes des notables, la mauvaise conscience d'une époque ?


Ce que j'en dis :
Roman lu en partenariat avec Blog-o-book et Le livre de poche, dont je leur remercie à cette participation de partenariat.

Quand au roman, ce qui m'avait donné envie de le lire était que l'auteur s'est basé d'un fait réel pour écrire ce roman.
Roman lors de ma lecture j'avais plutôt l'impression de lire un livre-document sur une affaire / cas puisque presque la moitié de l'histoire est centré sur l'affaire de Favez.

Je ne reviendrais pas sur l'histoire elle-même puisque la présentation de l'éditeur en dit long déjà. Jacques Chessex, dès le premier chapitre déjà, nous fait rappeler quel était les mœurs à cette époque là : les gens alors étaient superstitieux, croyaient comme dur aux légendes, mais surtout avait peur de tout ceux qu'ils ne connaissaient pas. Donc les villageois devenaient hystériques, sont sûr de voir des choses ou interprétaient à leurs façons ce qu'ils pensaient avoir vu...

Malheureusement cette lecture m'a laissé plutôt indifférente, Mais n'ayez pas peur de le lire, peut-être qu'il vous enchantera plus que moi.

1 commentaires:

Jémlyre a dit…

Celui-là, il faut que je le lise...

 
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