Quatrième de couverture : " D'où provenait la fascination qu'exerçait Olive Martin ? Du spectacle grotesque de son mètre cinquante-cinq pour quelque cent vingt kilos ? De sa sinistre notoriété ? De la répulsion qu'elle inspirait ? Elle avait débité sa mère et sa soeur en morceaux qu'elle avait rassemblés sur le sol de la cuisine en une composition abstraite sanguinolente. L'énormité du crime, jointe à l'impression terrifiante que sa silhouette apocalyptique avait produite sur les membres du tribunal lui avaient valu une condamnation à perpétuité. Le crime mis à part, ce qui rendait son cas exceptionnel, c'était quelle avait plaidé coupable et même refusé de se défendre. " Dès sa première rencontre avec Olive Martin, Rosalind Leigh, qui a accepté non sans dégoût d'écrire un livre sur elle, a le sentiment que la meurtrière obèse n'est pas coupable. Mais alors pourquoi ces aveux ? Qui protège-t-elle ? Et pourquoi ?
Dans les deux romans que j'ai lu seulement de l'auteure ("Le sang de Renard" et " La muselière") elle nous menait à chaque fois sur de fausses pistes. Ici, c'est pareil mais ca tourne autour des mensonges. Roz, jounaliste, doit écrire un livre sur Olive Martin : psycopathe qui tué sa mère et sa soeur et les a coupé en pièces. Comme il est écit ci-dessus, l'instinc de Roz lui dit que Olive est innocente. Au fur et à mesure que Roz cherche des personnes ayant connu la coupable et ses victimes (pour se faire une idée sur leurs caractères) elle s'appercevra que beaucoup de chose ne colle pas, entre les aveux de la coupable et certains faits, des personnes qui semblent cacher des choses... Puis il y aussi cet ancien policier bizarre qui tourne pas rond. Roz s'en entichera et découvrira se qui se cachera derrière son agressivité. Une fois de plus, avec Minette Walters, je n'ai compris vers la fin qui était le véritable coupable car il fallait y a voir penser à cette personne ! Par contre , toute à la fin du roman, comme un des personnages, j'ai eu des frissons...pour moi il y a toujours le doute de savoir si Olive n'a pas été aux meurtres :s
Bye bye Canalblog => déménagement de blog
Il y a 5 ans
4 commentaires:
Comme j'ai "la muselière" qui m'attend gentiment je préfère ne pas lire...
EH bien Nini, enfin un que j'ai vu à ma bibliothèque il y a déjà un petit moment et que j'avais passé près de prendre, j'adore les livres suspense et quand il on y traite psychologie aussi :) mais je ne l'avais pas pris j'avais un peu l'idée de celui de S. King en tête avec la femme qui tient en otage l'écrivain et qui est folle... bref, ton résumé est intéressant. Donc celui-ci je le note pour ma bibliothèque pas besoin de me l'acheter !!
Bises
Bonjour Nini, Cuisine sanglante est le premier que j'ai lu de Minette Walters, j'avais trouvé ce roman génial. Par la suite, j'ai lu la Muselière, toujours très bien. Mais Cuisine sanglante est une réussite totale. C'est à mon avis son meilleur. Bonne après-midi.
je viens de découvrir cette auteure avec 'l'ombre du caméléon' et j'ai beaucoup aimé. Je note celui-ci.
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